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De Crisis Voorbij � van Klasse! en de Vrije Bond
Klasse! en Vrije Bond - 21.09.2011 08:32 - geselecteerd

Vandaag, woensdag 21 september ,wordt de gratis crisiskrant: De crisis voorbij in meer dan veertig steden en dorpen uitgedeeld aan het station. Maandag had Den Haag de primeur. De crisiskrant is een initiatief van Klasse! en Vrije Bond. Hiermee willen we een ander standpunt over de crisis en de bezuinigingen laten horen. Lees verder...
Occupy Wall Street
BadSkillz - 20.09.2011 19:51

In New York zijn al 4 dagen protesten aan de gang! Lees verder...
COMMISSARIAT DE POLICE DU PUY EN VELAY PUY EN VELAY
EU - 20.09.2011 17:17

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place

Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc



Monsieur le Premier Ministre

Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�.

Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention.
� D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. �
Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires:
� En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. �

Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�.

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout.

Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente.

Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau.

Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ?
Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus.

Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux.

L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises.

Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux.

Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur :

1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices,
2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ",
3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes,
4�) les liquidateurs judiciaires.

Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle.
J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus.

Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�...

Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le.

La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ?

Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice.


Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir.


Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es.



Marc FILTERMAN


PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet :
Site :  http://www.multimania.com/filterman/internement-abusif.htm

COMBIEN TOUCHENT AU NOIR LE DIRECTEUR DU COMISSARIAT DU PUY EN VELAY POUR CHACUN DES INTERNEMENTS ABUSIFS ET AUTRES TRAFFICS D'ARGENTS SALES ET AUTRES LE DIRECTEUR DES IMPOTS DU PUY EN VELAY VA LUI PASSER DESSUS AINSI QUE SUR CES POLICIERS MALHONNETES ET CORROMPUS AVEC LE SNUI SYNDICAT DU CONTROLE FISCAL DE BERCY ET LE MINISTERE DES FINANCES LEURS COMPTES BANCAIRES AU KARCHER VA Y AVOIR DE GRANDES SURPRISES DE CORRUPTIONS DE FONCTIONNAIRES ?

La loi sur la corruption pr�voit de sanctionner tout agent public (fonctionnaire, �lu ou personnel judiciaire), �qui se laisse corrompre (...) y compris les agents d'�tats �trangers�

L'Assembl�e nationale a adopt� mercredi le projet de loi contre la corruption qui pr�voit notamment de sanctionner �tout agent public qui se laisse corrompre�, qu'il soit fran�ais ou �tranger. Ce texte, adopt� � l'unanimit� (UMP, NC, PS), en premi�re lecture et d�fendu par la garde des Sceaux Rachida Dati, vise � adapter l'arsenal l�gislatif fran�ais aux engagements internationaux de Paris. Le S�nat l�examinera � son tour le 31 octobre

Il sanctionne tout agent public, c'est-�-dire fonctionnaire, �lu ou membre du personnel judiciaire, �qui se laisse corrompre (...)

�Ce texte poursuit trois objectifs majeurs�, a d�clar� la ministre de la Justice.

�Il �largit le d�lit de corruption des agents publics �trangers. Il sanctionne le trafic d'influence exerc� sur les agents des organisations internationales�, a-t-elle expliqu�.

�Il vise enfin � mieux prot�ger la justice contre toute influence ext�rieure et � rendre plus efficace la lutte contre la corruption�, a poursuivi Rachida Dati, qui a qualifi� de �protectrices� et de �rigoureuses� les dispositions de son projet de loi.

�Ce texte est une avanc�e�, a dit le socialiste Arnaud Montebourg. �Mais le chemin est � moiti� accompli, l'autre moiti� reste � accomplir�, a-t-il dit.

Ce texte, qui compl�te la loi du 30 juin 2000 de lutte contre la corruption et qui transpose deux conventions, l'une du Conseil de l'Europe datant de 1999, l'autre des Nations Unies de janvier 2003, modifie le Code p�nal afin, notamment, de renforcer les sanctions pour corruption des fonctionnaires.

L'Assembl�e a ent�rin� plusieurs amendements de la commission des lois comme celui qui autorise les �coutes t�l�phoniques pour les enqu�tes relatives � des affaires de corruption. Elle a aussi adopt� celui qui introduit dans le Code du travail un dispositif visant � �prot�ger efficacement l'employ� qui, de bonne foi, t�moigne ou relate � son employeur ou aux autorit�s des faits de corruption dont il a eu connaissance dans l'exercice de ses fonctions�.

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place

Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc



Monsieur le Premier Ministre

Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�.

Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention.
� D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. �
Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires:
� En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. �

Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�.

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout.

Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente.

Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau.

Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ?
Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus.

Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux.

L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises.

Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux.

Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur :

1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices,
2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ",
3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes,
4�) les liquidateurs judiciaires.

Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle.
J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus.

Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�...

Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le.

La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ?

Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice.


Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir.


Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es.



Marc FILTERMAN


PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet :
Site :  http://www.multimania.com/filterman/internement-abusif.htm

COMBIEN TOUCHENT AU NOIR LE DIRECTEUR DU COMISSARIAT DU PUY EN VELAY POUR CHACUN DES INTERNEMENTS ABUSIFS ET AUTRES TRAFFICS D'ARGENTS SALES ET AUTRES LE DIRECTEUR DES IMPOTS DU PUY EN VELAY VA LUI PASSER DESSUS AINSI QUE SUR CES POLICIERS MALHONNETES ET CORROMPUS AVEC LE SNUI SYNDICAT DU CONTROLE FISCAL DE BERCY ET LE MINISTERE DES FINANCES LEURS COMPTES BANCAIRES AU KARCHER VA Y AVOIR DE GRANDES SURPRISES DE CORRUPTIONS DE FONCTIONNAIRES ?

La loi sur la corruption pr�voit de sanctionner tout agent public (fonctionnaire, �lu ou personnel judiciaire), �qui se laisse corrompre (...) y compris les agents d'�tats �trangers�

L'Assembl�e nationale a adopt� mercredi le projet de loi contre la corruption qui pr�voit notamment de sanctionner �tout agent public qui se laisse corrompre�, qu'il soit fran�ais ou �tranger. Ce texte, adopt� � l'unanimit� (UMP, NC, PS), en premi�re lecture et d�fendu par la garde des Sceaux Rachida Dati, vise � adapter l'arsenal l�gislatif fran�ais aux engagements internationaux de Paris. Le S�nat l�examinera � son tour le 31 octobre

Il sanctionne tout agent public, c'est-�-dire fonctionnaire, �lu ou membre du personnel judiciaire, �qui se laisse corrompre (...)

�Ce texte poursuit trois objectifs majeurs�, a d�clar� la ministre de la Justice.

�Il �largit le d�lit de corruption des agents publics �trangers. Il sanctionne le trafic d'influence exerc� sur les agents des organisations internationales�, a-t-elle expliqu�.

�Il vise enfin � mieux prot�ger la justice contre toute influence ext�rieure et � rendre plus efficace la lutte contre la corruption�, a poursuivi Rachida Dati, qui a qualifi� de �protectrices� et de �rigoureuses� les dispositions de son projet de loi.

�Ce texte est une avanc�e�, a dit le socialiste Arnaud Montebourg. �Mais le chemin est � moiti� accompli, l'autre moiti� reste � accomplir�, a-t-il dit.

Ce texte, qui compl�te la loi du 30 juin 2000 de lutte contre la corruption et qui transpose deux conventions, l'une du Conseil de l'Europe datant de 1999, l'autre des Nations Unies de janvier 2003, modifie le Code p�nal afin, notamment, de renforcer les sanctions pour corruption des fonctionnaires.

L'Assembl�e a ent�rin� plusieurs amendements de la commission des lois comme celui qui autorise les �coutes t�l�phoniques pour les enqu�tes relatives � des affaires de corruption. Elle a aussi adopt� celui qui introduit dans le Code du travail un dispositif visant � �prot�ger efficacement l'employ� qui, de bonne foi, t�moigne ou relate � son employeur ou aux autorit�s des faits de corruption dont il a eu connaissance dans l'exercice de ses fonctions�.
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HOTEL DE POLICE PUY EN VELAY
EUROP EU EUROPOL - 20.09.2011 17:15

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place

Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc



Monsieur le Premier Ministre

Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�.

Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention.
� D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. �
Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires:
� En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. �

Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�.

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout.

Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente.

Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau.

Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ?
Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus.

Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux.

L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises.

Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux.

Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur :

1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices,
2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ",
3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes,
4�) les liquidateurs judiciaires.

Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle.
J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus.

Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�...

Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le.

La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ?

Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice.


Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir.


Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es.



Marc FILTERMAN


PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet :
Site :  http://www.multimania.com/filterman/internement-abusif.htm

COMBIEN TOUCHENT AU NOIR LE DIRECTEUR DU COMISSARIAT DU PUY EN VELAY POUR CHACUN DES INTERNEMENTS ABUSIFS ET AUTRES TRAFFICS D'ARGENTS SALES ET AUTRES LE DIRECTEUR DES IMPOTS DU PUY EN VELAY VA LUI PASSER DESSUS AINSI QUE SUR CES POLICIERS MALHONNETES ET CORROMPUS AVEC LE SNUI SYNDICAT DU CONTROLE FISCAL DE BERCY ET LE MINISTERE DES FINANCES LEURS COMPTES BANCAIRES AU KARCHER VA Y AVOIR DE GRANDES SURPRISES DE CORRUPTIONS DE FONCTIONNAIRES ?

La loi sur la corruption pr�voit de sanctionner tout agent public (fonctionnaire, �lu ou personnel judiciaire), �qui se laisse corrompre (...) y compris les agents d'�tats �trangers�

L'Assembl�e nationale a adopt� mercredi le projet de loi contre la corruption qui pr�voit notamment de sanctionner �tout agent public qui se laisse corrompre�, qu'il soit fran�ais ou �tranger. Ce texte, adopt� � l'unanimit� (UMP, NC, PS), en premi�re lecture et d�fendu par la garde des Sceaux Rachida Dati, vise � adapter l'arsenal l�gislatif fran�ais aux engagements internationaux de Paris. Le S�nat l�examinera � son tour le 31 octobre

Il sanctionne tout agent public, c'est-�-dire fonctionnaire, �lu ou membre du personnel judiciaire, �qui se laisse corrompre (...)

�Ce texte poursuit trois objectifs majeurs�, a d�clar� la ministre de la Justice.

�Il �largit le d�lit de corruption des agents publics �trangers. Il sanctionne le trafic d'influence exerc� sur les agents des organisations internationales�, a-t-elle expliqu�.

�Il vise enfin � mieux prot�ger la justice contre toute influence ext�rieure et � rendre plus efficace la lutte contre la corruption�, a poursuivi Rachida Dati, qui a qualifi� de �protectrices� et de �rigoureuses� les dispositions de son projet de loi.

�Ce texte est une avanc�e�, a dit le socialiste Arnaud Montebourg. �Mais le chemin est � moiti� accompli, l'autre moiti� reste � accomplir�, a-t-il dit.

Ce texte, qui compl�te la loi du 30 juin 2000 de lutte contre la corruption et qui transpose deux conventions, l'une du Conseil de l'Europe datant de 1999, l'autre des Nations Unies de janvier 2003, modifie le Code p�nal afin, notamment, de renforcer les sanctions pour corruption des fonctionnaires.

L'Assembl�e a ent�rin� plusieurs amendements de la commission des lois comme celui qui autorise les �coutes t�l�phoniques pour les enqu�tes relatives � des affaires de corruption. Elle a aussi adopt� celui qui introduit dans le Code du travail un dispositif visant � �prot�ger efficacement l'employ� qui, de bonne foi, t�moigne ou relate � son employeur ou aux autorit�s des faits de corruption dont il a eu connaissance dans l'exercice de ses fonctions�.

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place

Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc



Monsieur le Premier Ministre

Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�.

Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention.
� D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. �
Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires:
� En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. �

Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�.

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout.

Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente.

Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau.

Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ?
Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus.

Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux.

L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises.

Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux.

Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur :

1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices,
2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ",
3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes,
4�) les liquidateurs judiciaires.

Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle.
J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus.

Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�...

Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le.

La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ?

Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice.


Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir.


Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es.



Marc FILTERMAN


PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet :
Site :  http://www.multimania.com/filterman/internement-abusif.htm

COMBIEN TOUCHENT AU NOIR LE DIRECTEUR DU COMISSARIAT DU PUY EN VELAY POUR CHACUN DES INTERNEMENTS ABUSIFS ET AUTRES TRAFFICS D'ARGENTS SALES ET AUTRES LE DIRECTEUR DES IMPOTS DU PUY EN VELAY VA LUI PASSER DESSUS AINSI QUE SUR CES POLICIERS MALHONNETES ET CORROMPUS AVEC LE SNUI SYNDICAT DU CONTROLE FISCAL DE BERCY ET LE MINISTERE DES FINANCES LEURS COMPTES BANCAIRES AU KARCHER VA Y AVOIR DE GRANDES SURPRISES DE CORRUPTIONS DE FONCTIONNAIRES ?

La loi sur la corruption pr�voit de sanctionner tout agent public (fonctionnaire, �lu ou personnel judiciaire), �qui se laisse corrompre (...) y compris les agents d'�tats �trangers�

L'Assembl�e nationale a adopt� mercredi le projet de loi contre la corruption qui pr�voit notamment de sanctionner �tout agent public qui se laisse corrompre�, qu'il soit fran�ais ou �tranger. Ce texte, adopt� � l'unanimit� (UMP, NC, PS), en premi�re lecture et d�fendu par la garde des Sceaux Rachida Dati, vise � adapter l'arsenal l�gislatif fran�ais aux engagements internationaux de Paris. Le S�nat l�examinera � son tour le 31 octobre

Il sanctionne tout agent public, c'est-�-dire fonctionnaire, �lu ou membre du personnel judiciaire, �qui se laisse corrompre (...)

�Ce texte poursuit trois objectifs majeurs�, a d�clar� la ministre de la Justice.

�Il �largit le d�lit de corruption des agents publics �trangers. Il sanctionne le trafic d'influence exerc� sur les agents des organisations internationales�, a-t-elle expliqu�.

�Il vise enfin � mieux prot�ger la justice contre toute influence ext�rieure et � rendre plus efficace la lutte contre la corruption�, a poursuivi Rachida Dati, qui a qualifi� de �protectrices� et de �rigoureuses� les dispositions de son projet de loi.

�Ce texte est une avanc�e�, a dit le socialiste Arnaud Montebourg. �Mais le chemin est � moiti� accompli, l'autre moiti� reste � accomplir�, a-t-il dit.

Ce texte, qui compl�te la loi du 30 juin 2000 de lutte contre la corruption et qui transpose deux conventions, l'une du Conseil de l'Europe datant de 1999, l'autre des Nations Unies de janvier 2003, modifie le Code p�nal afin, notamment, de renforcer les sanctions pour corruption des fonctionnaires.

L'Assembl�e a ent�rin� plusieurs amendements de la commission des lois comme celui qui autorise les �coutes t�l�phoniques pour les enqu�tes relatives � des affaires de corruption. Elle a aussi adopt� celui qui introduit dans le Code du travail un dispositif visant � �prot�ger efficacement l'employ� qui, de bonne foi, t�moigne ou relate � son employeur ou aux autorit�s des faits de corruption dont il a eu connaissance dans l'exercice de ses fonctions�.
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HOTEL DE POLICE COMISSARIAT PUY EN VELAY
EU EURO EUROPOL - 20.09.2011 17:13

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place

Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc



Monsieur le Premier Ministre

Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�.

Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention.
� D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. �
Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires:
� En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. �

Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�.

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout.

Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente.

Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau.

Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ?
Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus.

Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux.

L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises.

Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux.

Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur :

1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices,
2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ",
3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes,
4�) les liquidateurs judiciaires.

Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle.
J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus.

Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�...

Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le.

La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ?

Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice.


Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir.


Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es.



Marc FILTERMAN


PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet :
Site :  http://www.multimania.com/filterman/internement-abusif.htm

COMBIEN TOUCHENT AU NOIR LE DIRECTEUR DU COMISSARIAT DU PUY EN VELAY POUR CHACUN DES INTERNEMENTS ABUSIFS ET AUTRES TRAFFICS D'ARGENTS SALES ET AUTRES LE DIRECTEUR DES IMPOTS DU PUY EN VELAY VA LUI PASSER DESSUS AINSI QUE SUR CES POLICIERS MALHONNETES ET CORROMPUS AVEC LE SNUI SYNDICAT DU CONTROLE FISCAL DE BERCY ET LE MINISTERE DES FINANCES LEURS COMPTES BANCAIRES AU KARCHER VA Y AVOIR DE GRANDES SURPRISES DE CORRUPTIONS DE FONCTIONNAIRES ?

La loi sur la corruption pr�voit de sanctionner tout agent public (fonctionnaire, �lu ou personnel judiciaire), �qui se laisse corrompre (...) y compris les agents d'�tats �trangers�

L'Assembl�e nationale a adopt� mercredi le projet de loi contre la corruption qui pr�voit notamment de sanctionner �tout agent public qui se laisse corrompre�, qu'il soit fran�ais ou �tranger. Ce texte, adopt� � l'unanimit� (UMP, NC, PS), en premi�re lecture et d�fendu par la garde des Sceaux Rachida Dati, vise � adapter l'arsenal l�gislatif fran�ais aux engagements internationaux de Paris. Le S�nat l�examinera � son tour le 31 octobre

Il sanctionne tout agent public, c'est-�-dire fonctionnaire, �lu ou membre du personnel judiciaire, �qui se laisse corrompre (...)

�Ce texte poursuit trois objectifs majeurs�, a d�clar� la ministre de la Justice.

�Il �largit le d�lit de corruption des agents publics �trangers. Il sanctionne le trafic d'influence exerc� sur les agents des organisations internationales�, a-t-elle expliqu�.

�Il vise enfin � mieux prot�ger la justice contre toute influence ext�rieure et � rendre plus efficace la lutte contre la corruption�, a poursuivi Rachida Dati, qui a qualifi� de �protectrices� et de �rigoureuses� les dispositions de son projet de loi.

�Ce texte est une avanc�e�, a dit le socialiste Arnaud Montebourg. �Mais le chemin est � moiti� accompli, l'autre moiti� reste � accomplir�, a-t-il dit.

Ce texte, qui compl�te la loi du 30 juin 2000 de lutte contre la corruption et qui transpose deux conventions, l'une du Conseil de l'Europe datant de 1999, l'autre des Nations Unies de janvier 2003, modifie le Code p�nal afin, notamment, de renforcer les sanctions pour corruption des fonctionnaires.

L'Assembl�e a ent�rin� plusieurs amendements de la commission des lois comme celui qui autorise les �coutes t�l�phoniques pour les enqu�tes relatives � des affaires de corruption. Elle a aussi adopt� celui qui introduit dans le Code du travail un dispositif visant � �prot�ger efficacement l'employ� qui, de bonne foi, t�moigne ou relate � son employeur ou aux autorit�s des faits de corruption dont il a eu connaissance dans l'exercice de ses fonctions�.

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place

Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc



Monsieur le Premier Ministre

Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�.

Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention.
� D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. �
Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires:
� En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. �

Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�.

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout.

Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente.

Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau.

Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ?
Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus.

Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux.

L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises.

Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux.

Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur :

1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices,
2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ",
3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes,
4�) les liquidateurs judiciaires.

Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle.
J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus.

Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�...

Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le.

La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ?

Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice.


Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir.


Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es.



Marc FILTERMAN


PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet :
Site :  http://www.multimania.com/filterman/internement-abusif.htm

COMBIEN TOUCHENT AU NOIR LE DIRECTEUR DU COMISSARIAT DU PUY EN VELAY POUR CHACUN DES INTERNEMENTS ABUSIFS ET AUTRES TRAFFICS D'ARGENTS SALES ET AUTRES LE DIRECTEUR DES IMPOTS DU PUY EN VELAY VA LUI PASSER DESSUS AINSI QUE SUR CES POLICIERS MALHONNETES ET CORROMPUS AVEC LE SNUI SYNDICAT DU CONTROLE FISCAL DE BERCY ET LE MINISTERE DES FINANCES LEURS COMPTES BANCAIRES AU KARCHER VA Y AVOIR DE GRANDES SURPRISES DE CORRUPTIONS DE FONCTIONNAIRES ?

La loi sur la corruption pr�voit de sanctionner tout agent public (fonctionnaire, �lu ou personnel judiciaire), �qui se laisse corrompre (...) y compris les agents d'�tats �trangers�

L'Assembl�e nationale a adopt� mercredi le projet de loi contre la corruption qui pr�voit notamment de sanctionner �tout agent public qui se laisse corrompre�, qu'il soit fran�ais ou �tranger. Ce texte, adopt� � l'unanimit� (UMP, NC, PS), en premi�re lecture et d�fendu par la garde des Sceaux Rachida Dati, vise � adapter l'arsenal l�gislatif fran�ais aux engagements internationaux de Paris. Le S�nat l�examinera � son tour le 31 octobre

Il sanctionne tout agent public, c'est-�-dire fonctionnaire, �lu ou membre du personnel judiciaire, �qui se laisse corrompre (...)

�Ce texte poursuit trois objectifs majeurs�, a d�clar� la ministre de la Justice.

�Il �largit le d�lit de corruption des agents publics �trangers. Il sanctionne le trafic d'influence exerc� sur les agents des organisations internationales�, a-t-elle expliqu�.

�Il vise enfin � mieux prot�ger la justice contre toute influence ext�rieure et � rendre plus efficace la lutte contre la corruption�, a poursuivi Rachida Dati, qui a qualifi� de �protectrices� et de �rigoureuses� les dispositions de son projet de loi.

�Ce texte est une avanc�e�, a dit le socialiste Arnaud Montebourg. �Mais le chemin est � moiti� accompli, l'autre moiti� reste � accomplir�, a-t-il dit.

Ce texte, qui compl�te la loi du 30 juin 2000 de lutte contre la corruption et qui transpose deux conventions, l'une du Conseil de l'Europe datant de 1999, l'autre des Nations Unies de janvier 2003, modifie le Code p�nal afin, notamment, de renforcer les sanctions pour corruption des fonctionnaires.

L'Assembl�e a ent�rin� plusieurs amendements de la commission des lois comme celui qui autorise les �coutes t�l�phoniques pour les enqu�tes relatives � des affaires de corruption. Elle a aussi adopt� celui qui introduit dans le Code du travail un dispositif visant � �prot�ger efficacement l'employ� qui, de bonne foi, t�moigne ou relate � son employeur ou aux autorit�s des faits de corruption dont il a eu connaissance dans l'exercice de ses fonctions�.
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LES POLICIERS RIPOUX AU PUY EN VELAY
EUROPOL EU - 20.09.2011 17:12

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place

Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc



Monsieur le Premier Ministre

Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�.

Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention.
� D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. �
Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires:
� En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. �

Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�.

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout.

Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente.

Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau.

Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ?
Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus.

Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux.

L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises.

Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux.

Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur :

1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices,
2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ",
3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes,
4�) les liquidateurs judiciaires.

Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle.
J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus.

Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�...

Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le.

La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ?

Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice.


Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir.


Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es.



Marc FILTERMAN


PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet :
Site :  http://www.multimania.com/filterman/internement-abusif.htm

COMBIEN TOUCHENT AU NOIR LE DIRECTEUR DU COMISSARIAT DU PUY EN VELAY POUR CHACUN DES INTERNEMENTS ABUSIFS ET AUTRES TRAFFICS D'ARGENTS SALES ET AUTRES LE DIRECTEUR DES IMPOTS DU PUY EN VELAY VA LUI PASSER DESSUS AINSI QUE SUR CES POLICIERS MALHONNETES ET CORROMPUS AVEC LE SNUI SYNDICAT DU CONTROLE FISCAL DE BERCY ET LE MINISTERE DES FINANCES LEURS COMPTES BANCAIRES AU KARCHER VA Y AVOIR DE GRANDES SURPRISES DE CORRUPTIONS DE FONCTIONNAIRES ?

La loi sur la corruption pr�voit de sanctionner tout agent public (fonctionnaire, �lu ou personnel judiciaire), �qui se laisse corrompre (...) y compris les agents d'�tats �trangers�

L'Assembl�e nationale a adopt� mercredi le projet de loi contre la corruption qui pr�voit notamment de sanctionner �tout agent public qui se laisse corrompre�, qu'il soit fran�ais ou �tranger. Ce texte, adopt� � l'unanimit� (UMP, NC, PS), en premi�re lecture et d�fendu par la garde des Sceaux Rachida Dati, vise � adapter l'arsenal l�gislatif fran�ais aux engagements internationaux de Paris. Le S�nat l�examinera � son tour le 31 octobre

Il sanctionne tout agent public, c'est-�-dire fonctionnaire, �lu ou membre du personnel judiciaire, �qui se laisse corrompre (...)

�Ce texte poursuit trois objectifs majeurs�, a d�clar� la ministre de la Justice.

�Il �largit le d�lit de corruption des agents publics �trangers. Il sanctionne le trafic d'influence exerc� sur les agents des organisations internationales�, a-t-elle expliqu�.

�Il vise enfin � mieux prot�ger la justice contre toute influence ext�rieure et � rendre plus efficace la lutte contre la corruption�, a poursuivi Rachida Dati, qui a qualifi� de �protectrices� et de �rigoureuses� les dispositions de son projet de loi.

�Ce texte est une avanc�e�, a dit le socialiste Arnaud Montebourg. �Mais le chemin est � moiti� accompli, l'autre moiti� reste � accomplir�, a-t-il dit.

Ce texte, qui compl�te la loi du 30 juin 2000 de lutte contre la corruption et qui transpose deux conventions, l'une du Conseil de l'Europe datant de 1999, l'autre des Nations Unies de janvier 2003, modifie le Code p�nal afin, notamment, de renforcer les sanctions pour corruption des fonctionnaires.

L'Assembl�e a ent�rin� plusieurs amendements de la commission des lois comme celui qui autorise les �coutes t�l�phoniques pour les enqu�tes relatives � des affaires de corruption. Elle a aussi adopt� celui qui introduit dans le Code du travail un dispositif visant � �prot�ger efficacement l'employ� qui, de bonne foi, t�moigne ou relate � son employeur ou aux autorit�s des faits de corruption dont il a eu connaissance dans l'exercice de ses fonctions�.

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place

Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc



Monsieur le Premier Ministre

Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�.

Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention.
� D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. �
Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires:
� En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. �

Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�.

Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout.

Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente.

Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau.

Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ?
Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus.

Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux.

L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises.

Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux.

Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur :

1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices,
2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ",
3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes,
4�) les liquidateurs judiciaires.

Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle.
J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus.

Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�...

Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le.

La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ?

Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice.


Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir.


Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es.



Marc FILTERMAN


PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet :
Site :  http://www.multimania.com/filterman/internement-abusif.htm

COMBIEN TOUCHENT AU NOIR LE DIRECTEUR DU COMISSARIAT DU PUY EN VELAY POUR CHACUN DES INTERNEMENTS ABUSIFS ET AUTRES TRAFFICS D'ARGENTS SALES ET AUTRES LE DIRECTEUR DES IMPOTS DU PUY EN VELAY VA LUI PASSER DESSUS AINSI QUE SUR CES POLICIERS MALHONNETES ET CORROMPUS AVEC LE SNUI SYNDICAT DU CONTROLE FISCAL DE BERCY ET LE MINISTERE DES FINANCES LEURS COMPTES BANCAIRES AU KARCHER VA Y AVOIR DE GRANDES SURPRISES DE CORRUPTIONS DE FONCTIONNAIRES ?

La loi sur la corruption pr�voit de sanctionner tout agent public (fonctionnaire, �lu ou personnel judiciaire), �qui se laisse corrompre (...) y compris les agents d'�tats �trangers�

L'Assembl�e nationale a adopt� mercredi le projet de loi contre la corruption qui pr�voit notamment de sanctionner �tout agent public qui se laisse corrompre�, qu'il soit fran�ais ou �tranger. Ce texte, adopt� � l'unanimit� (UMP, NC, PS), en premi�re lecture et d�fendu par la garde des Sceaux Rachida Dati, vise � adapter l'arsenal l�gislatif fran�ais aux engagements internationaux de Paris. Le S�nat l�examinera � son tour le 31 octobre

Il sanctionne tout agent public, c'est-�-dire fonctionnaire, �lu ou membre du personnel judiciaire, �qui se laisse corrompre (...)

�Ce texte poursuit trois objectifs majeurs�, a d�clar� la ministre de la Justice.

�Il �largit le d�lit de corruption des agents publics �trangers. Il sanctionne le trafic d'influence exerc� sur les agents des organisations internationales�, a-t-elle expliqu�.

�Il vise enfin � mieux prot�ger la justice contre toute influence ext�rieure et � rendre plus efficace la lutte contre la corruption�, a poursuivi Rachida Dati, qui a qualifi� de �protectrices� et de �rigoureuses� les dispositions de son projet de loi.

�Ce texte est une avanc�e�, a dit le socialiste Arnaud Montebourg. �Mais le chemin est � moiti� accompli, l'autre moiti� reste � accomplir�, a-t-il dit.

Ce texte, qui compl�te la loi du 30 juin 2000 de lutte contre la corruption et qui transpose deux conventions, l'une du Conseil de l'Europe datant de 1999, l'autre des Nations Unies de janvier 2003, modifie le Code p�nal afin, notamment, de renforcer les sanctions pour corruption des fonctionnaires.

L'Assembl�e a ent�rin� plusieurs amendements de la commission des lois comme celui qui autorise les �coutes t�l�phoniques pour les enqu�tes relatives � des affaires de corruption. Elle a aussi adopt� celui qui introduit dans le Code du travail un dispositif visant � �prot�ger efficacement l'employ� qui, de bonne foi, t�moigne ou relate � son employeur ou aux autorit�s des faits de corruption dont il a eu connaissance dans l'exercice de ses fonctions�.
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Zwart op wit: Belgische staat organiseerde samenzwering
nn - 20.09.2011 17:11


Op 26 april 2006 riep het toenmalige kabinet Justitie de gerechtelijke, politieke en politietop samen voor een uitzonderlijke vergadering met maar ��n doel: een jonge en zoals achteraf bleek onschuldige Belg uitleveren aan Turkije. Tegen alle rechtsregels in. Lees verder...
Arrestant prinsjesdag
Anti sgp - 20.09.2011 15:11 - geselecteerd

Een protest tegen de sgp werd vandaag in de kiem gesmoord door de politie.
Krijtje stond bij een paar vrouwen uit Staphorst met haar bord, wat enkele sgp fans niet leuk vonden. zie  http://www.depers.nl/binnenland/597230/Fotogalerij-Prinsjesdag-2011.html Lees verder...
AAP pakt cultuurverschillen bij apen aan
Stichting AAP - 20.09.2011 15:02

Mantelbaviaan Elisabeth. Foto:ARC/AAP Op donderdag 22 september a.s. arriveert een bijzonder apentrio bij Stichting AAP: mantelbaviaan Elisabeth, Java-aap Marula en monameerkat Cyprianos leefden jarenlang met zijn drie�n in ��n kooi bij een monnikenklooster op Cyprus. Men was zich van geen kwaad bewust en dacht dat alle apensoorten gewoon bij elkaar geplaatst kunnen worden. Maar de ene aap is de andere niet... Lees verder...
[A*dam] Days of action against the squatting ban 29.9.-2.10.
nn - 20.09.2011 14:35 - geselecteerd

We're still here! Wij zijn er nog steeds!

Days of action against the squatting ban / Actiedagen tegen het kraakverbod

29 September - 2 Octover
Amsterdam

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Benefit voku for "Days Of ACTION!" @ De Hallen Sunday 25th S
Otilia PunkHC - 20.09.2011 14:15

Benefit voku for "Days Of ACTION!" @ De Hallen Sunday 25th September Lees verder...
(Am*Dam) 27/09 ABC Infoavond/soli-voku TEST THEIR LOGIK
ABC-020 - 20.09.2011 13:09

Toronto burning Dinsdag 27/09 organiseert Anarchist Black Cross Amsterdam een infoavond in samenwerking met hiphopduo TEST THEIR LOGIK.

Deze twee anarchistische rappers uit Canada komen vertellen over de protesten tegen de G20 in Toronto in 2010 en de juridische nasleep van de daarvan. Lees verder...
Rechtszaak 5 juli arrestante 22 september
NN - 20.09.2011 12:30

Op 5 juli 2010 werden 150 mensen gearresteerd bij de ontruiming van Scheinheilig. Verschillende mensen moeten nog voorkomen voor de aanklacht Openbare Geweldpleging tegen Goederen en Politie. Op 22 sep is die eerste rechtszaak. Lees verder...
Persbericht avond 'Jong en oud tegen de bezuinigingen' 29-09
Rode Morgen Amsterdam - 20.09.2011 11:10

duizenden 'Indignados' (verontwaardigden) demonstreren 27 juli in Madrid. Op de Persbericht


Film- en discussieavond
Jong en oud tegen de bezuinigingen
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Boze FNV-ers bekladden kantoor FNV-Bouw
Boze FNV-ers - 20.09.2011 02:19 - geselecteerd

Woerden, 20 september 2011

In de nacht van 19 op 20 september hebben boze FNV-leden leuzen aangebracht op het kantoor (Houttuinlaan 3, Woerden) van FNV-Bouw. Met de leus "Verraders" en het veranderen van "FNV Bouw" in "FNV Sloop" uitten zij hun woede over het "pensioenakkoord."
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Arrestaties tijdens demonstratie in Den Haag
Rosa - 19.09.2011 19:08 - geselecteerd

Aan het eind van de demonstratie op het Malieveld te Den Haag zijn een of meerdere mensen om onduidelijke en dubieuze redenen gearresteerd. Lees verder...
Lezing over socialistisch humanisme op dinsdag 27 september
Grenzeloos - 19.09.2011 18:34

Wie politiek actief is en met mensen praat over de mogelijkheden van een andere samenleving wordt al snel geconfronteerd met argumenten van het type: �Wat jullie willen dat klinkt allemaal wel heel mooi en daar ben ik ook voor, maar dat gaat nooit werken, want zo zijn mensen nou eenmaal niet.�
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tent camp Beursplein amsterdam
freeman john - 19.09.2011 15:36

amsterdam tent camp in support of worldwide tent camps in protest against banks and politicians. Lees verder...
interviews uit camp zeist
ik - 19.09.2011 14:46

short documentary on aljazeera Lees verder...
Vastgoed: even wachten op de huurverhoging!
vast niet goed - 19.09.2011 14:20

vastgoedbelang Vastgoedbelang wijst haar leden er op om voorlopig nog geen woningen te gaan verhuren, als de nieuwe regels van Donner naar alle waarschijnlijkheid op 1 oktober ingaan, dan moeten de huurders veel meer gaan betalen! Lees verder...
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