TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DU PUY EN VELAY EUROPOLICE EUROJUSTICE UNION EUROPENNE - 04.09.2011 01:08
A l'attention de Mr FILLON Francois A l'attention de Monsieur le Premier Ministre, FILLON Francois H�tel Matignon, 75007 PARIS. Monsieur le Premier Ministre Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre Mr FILLON Francois , et Mr Le Garde des Sceaux Mr MERCIER Michel en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises. Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux. Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur : 1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices, 2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ", 3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes, 4�) les liquidateurs judiciaires. Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle. J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus. Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�... Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le. La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ? Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice. Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir. Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es. Marc FILTERMAN PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet : Site sur la Corruption dans les d�partements :
http://corruption.ifrance.com/corruption-dysfonctionnem...s.htm Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises. Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux. Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur : 1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices, 2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ", 3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes, 4�) les liquidateurs judiciaires. Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle. J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus. Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�... Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le. La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ? Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice. Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir. Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es. Marc FILTERMAN PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet : Site sur la Corruption dans les d�partements : SPECIAL HAUTE LOIRE CORROMPUE Site sur la Corruption dans les d�partements : SPECIAL HAUTE LOIRE CORROMPUE http://www.corruption.ifrance.com/corruption-26-internement-abusif-curatel-extorsion-spoliation.htm POST SCRIPTUM : C'EST LES CONTRIBUABLES DE LA HAUTE LOIRE ET DE FRANCE LES AGENTS DES IMPOTS DE LA HAUTE LOIRE QUI PAYENT DANS LEURS IMPOTS LA NOTE DE LA CORRUPTION DE LA PREFECTURE ET DU TRIBUNAL DU PUY EN VELAY CONCERNANT LES INTERNEMENTS ABUSIFS ET LE TRAVAIL AU NOIR EFFECTUEE AU SEIN DE LA PREFECTURE DU PUY EN VELAY SPECIAL HAUTE LOIRE CORROMPUE LAFAYETTE LE GENERAL DIT http://www.youtube.com/watch?v=QzIXdTw6ft0 Lees verder... |  | Dale Farm Update! NN - 03.09.2011 16:34
De laatste wettelijke barri�re die de ontruiming van de 86 families wonende op Dale Farm, Essex tegenhield is nu vervallen. het nood-uitstel is hun niet gegund door de rechter, deze zou de ontruiming 1 maand uitstellen. dit betekend dat vanaf middernacht 31 augustus het grootste woonwagenkamp elk moment kan worden ontruimt! Lees verder... | CALL OUT!! Ontruiming Dale Farm (thuis 90 gezinnen) NN - 03.09.2011 16:11
Dale Farm is het grootste traveler site van engeland, net boven Londen. er wonen tegen de 1000 voornamelijk Ierse zigeuners en wat Roma, op grond dat hun zelf generaties geleden zelf hebben aangeschaft. destijds was dit een auto-kerkhof, en zij hebben dit omgebouwd tot hun leefruimte. Nu moet het ontruimt worden vanwege een 'strijd met bestemmingsplan' Lees verder... |  | ABUS SEXUELS SUR MINEURS EUROJUSTICE EU - 03.09.2011 13:12
LES RESEAUX PEDOPHILES DE LA GENDARMERIE DE FRANCE Les fran�ais et les europ�ens ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d'ailleurs puisqu'ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! Les fran�ais et les europ�ens ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d'ailleurs puisqu'ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! LES RESEAUX PEDOPHILES DE LA GENDARMERIE DE FRANCE THE FRENCH NETWORK CRIMINAL GENDARMERIE PEDOPHILY SYSTEM En effet un colonel de gendarmerie fait pression sur VALENTINE, avec un maire pour complice et deux hommes politiques en vue, en d�clarant � VALENTINE: "On va s'occuper de ton cas"! Mr le p�dophile colonel nous les petits nous allons vous occuper de votre cas et vous foutre � la prison internationale de la haye pour l'�ternit� et Dieu et La Nature vous corrigeront tr�s vite :o) Mais oui mr le colonel p�dophile nous allons nous occuper de votre cas de criminel p�dophilique et vos r�seaux criminels p�dophiles dans nos gendarmeries fran�aises et nous allons nous occuper de votre cas de sale p�dophile mr le p�dophile de colonel sale exhibitionniste de pauvre bite et y a pas que celui l� lol devant nous les petits nous connaissons bien vos syst�mes et vos r�seaux de pervers de gendarmes p�dophiles en gendarmerie et les fameux clins d'oeil des pervers p�dophiles gendarmes ou de mains sur nos petits culs que vous faites � nous les petits ! de gendarmes en boxer qui nous draguent et nous violent nous les petits ! mais aussi ceux des autres r�seaux p�dophiles de l'ext�rieur qui se branlent devant nous les petits ou nous violent nous les petits ou baignent journalistes policiers et magistrats et populations p�dophiles urbaines et paysannes qui ne pensent qu'� baiser nous les petits. Ce sont des malades criminels p�dophiles et le cas de ce colonel p�dophile en est un bon exemple ! et oui dans les villages la gendarmerie fran�aise locale couvrent avec la magistrature les r�seaux p�dophiles de chacune des r�gions de france ! Les fran�ais ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d'ailleurs puisqu'ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! Mr le colonel p�dophile combien de cars d'enfants viol�s tu�s d�port�s et vou�s aux traffics de p�dophiles laiss�es vous circuler librement la nuit sur les routes fran�aises de votre france p�dophile pendant que les fran�ais dorment sur un oeil et ne sont pas dupes non plus : r�ponse un paquet lol Et combien d'enfants viol�es sexuellement et tu�s dans des lieux cach�s et discrets � la ville et � la campagne ( chateaux, manoirs, discoth�ques, maisons spoli�es par la justice locale car la justice locale s'en sert ensuite de partouzes de petits justement avec des notables p�dophiles pour information et la rg gendarmique participe aussi � ces soir�es p�dophiles,.... ) : r�ponse un paquet lol C'est vraiment bete pour vous mr le colonel criminel p�dophile de notre gendarmerie : le tribunal de la haye est au courant depuis belle lurette de m�me qu'interpol et europol Google l'a mis en ligne internationalement et le monde entier est au courant Ah oui dixit un juriste : la p�dophilie c'est monnaie courante dans le milieu judiciaire ! et dixit deux policiers : certains policiers baisent avec des petits c'est d�ja arriv� ! Sa troupe de p�dophiles gendarmes couvrent �galement les r�seaux externes p�dophiles � notre gendarmerie : la sp�cialit�e de la gendarmerie c'est de laisser les r�seaux p�dophiles externes � continuer � violer les petits les procureurs en sont contents d'ailleurs et laissent faire avec l'aval de gendarmeries locales dans chacune des villes de france et des villages de france sachant que d'autres petits ont �t� viol�es dans notre gendarmerie dans nos maisons de la gendarmerie mais aussi � l'ext�rieur apr�s nous avoir bien d�foncer nos petits anus pendant la nuit sa ils savent bien faire ces ordures d'adultes de pervers de p�dophiles gendarmes et nous exhibiter leurs zizis devant nous les petits et nous d�calotter notre p'tit zizi apr�s ils nous le sucent et apr�s ils nous le font sucer leurs zizis et nous violent et mettent leurs gros zizis dans nos petits anus et nous nikent sexuellement ces gendarmes p�dophiles au sein de notre gendarmerie Rassurez vous les Moniteurs au sein de nos maisons de la gendarmerie sont aussi de v�ritables pervers p�dophiles :c'est les moniteurs qui se collent � nous les petits et c'est je te met la main sur nos petits culs puis vers nos petites cuisses et apr�s c'est qu'ils mettent leur zizi ces tordus de malades de criminels de p�dophiles de gendarmes qui durcit contre nos petits fesses et ils entrent apr�s leur zizi dans notre petit anus en tant que petits en gendarmerie. Sa ils savent bien faire ces ordures de pervers de p�dophiles gendarmes et nous exhibiter leurs zizis devant nous les petits et nous d�calotter notre p'tit zizi apr�s ils nous le sucent et apr�s ils nous le font sucer leurs zizis et nous violent et mettent leurs gros zizis dans nos petits anus et nous nikent sexuellement ces gendarmes p�dophiles au sein de nos maisons de la gendarmerie. Meme chez les nourrisses en gendarmerie ou chez des gendarmes p�dophiles : colonels, lieutenants, majors, gendarmes, G.A.c'est au lieu du dessin anim� ils nous mettent nous les petits des films X dans les casernes de gendarmerie au lieu de nous mettre nos dessins anim�es pr�f�r�s : ce sont des criminels qui s�vissent dans nos gendarmeries. En prime font sauter leurs PVS et font faire au noir les travaux dans leurs immeubles respectifs ou maisons. Le fisc peut dormir tranquille avec toute cette corruption gendarmique ! Mais ils ne se laissent plus faire des gendarmes se prennent des redressements fiscaux ! Na la la la l�re :o) C'est bien fait ! :o) et l'Europe entube la gendarmerie p�dophilique fran�aise ! Na la la la l�re :o) Na la la la l�re :o) "Nous connaissions ces soir�es habituelles, � Boulogne sur Mer ou � Avesnes-sur-Helpe. Des soir�es bi�re o� on invite les voisins, on boit beaucoup, on joue aux cartes ou au jeu de l'oie, et o� le gagnant peut choisir une petite fille, avec l'accord des parents", a expliqu� le magistrat afin de d�fendre le juge Burgaud - qui sera d'ailleurs fix� sur son sort le 27 mars . Et il a ajout� : "L�-bas, ce ne sont pas des psychologues qu'il faut envoyer, mais des sociologues ou des ethnologues." Curieusement cette phrase a �t� prononc�e par les m�mes � l'encontre de votre r�dacteur en chef pr�f�r�, lors de sa garde � vue, lors de ses perquisitions, lors de ses r�unions publiques, lors de ses audiences aux tribunaux! M�me menace prof�r�e � un avocat! Ces m�mes personnages qui essayent d'�touffer l'affaire de VALENTINE pour prot�ger leur copain, seraient impliqu�s dans l'affaire de la jeune SYLVIA, ag�e de 14 ans, d�coup�e en morceau (lors des soir�es bi�res?)et maquill�e en accident de voiture? De plus ce qui prouve la complicit� des juges avec les politiques est la mise en cause par le Rapporteur de l'O.N.U de la FRANCE, dans les dossiers concernant les abus sexuels et la p�dophilie qui sont de plus en plus massivement d�nonc�s (par la COUR DES DROITS DE L'HOMME aussi). Curieusement les juges savoyards n'ont pas demand� une commission rogatoire internationale pour regarder la d�position faite sur vid�o par les deux enfants de VALENTINE dans les locaux de la DJPS � Gen�ve. Ce n'est pas un oubli, ces magistrats sont trop professionnels, c'est donc intentionnellement qu'ils font entrave � la bonne marche de la justice en faveur de VALENTINE pour prot�ger leurs copains politiques! CQFD! L'ECHO des MONTAGNES, a fait cet article dans le l�gitime but de vous informer, ce qui est un droit et un devoir dans une soci�t� d�mocratique non perverse ACTION INNOCENCE Action Innocence est NOTRE ONG luttant contre la p�dophilie et les abus sexuels qui s'y passent en magistrature en police en gendarmerie ou � l'ext�rieur
http://www.actioninnocence.org/france/web/presentation....ge=88 ANTI PEDOPHIL
http://www.antipedophil.fr UNICEF
http://www.unicef.org/protection/ INNOCENCE EN DANGER
http://www.innocenceendanger.org/?id=402&L=3_blank ASSOCIATION DE LUTTE CONTRE LA PEDOPHILIE
http://www.lap.asso.fr/ INTERNATIONAL CRIMINAL COURT
http://www.icc-cpi.int/Menus/ICC LAFAYETTE DECLARATION OF HUMANS RIGHTS
http://s.bourdreux.free.fr/cabinet_Sigaud/chronologie/lafayette.jpg
http://www.un.org/en/documents/udhr Article 7: CRIMES CONTRE L'HUMANIT� INTERNATIONAL CRIMINAL COURT 1. Aux fins du pr�sent Statut, on entend par crime contre l'humanit� l'un des actes ci-apr�s commis dans le cadre d'une attaque g�n�ralis�e ou syst�matique lanc�e contre une population civile et en connaissance de cette attaque : a) Meurtre; b) Extermination; c) R�duction en esclavage; d) D�portation ou transfert forc� de population; e) Emprisonnement ou autre forme de privation grave de libert� physique en violation des dispositions fondamentales du droit international; f) Torture; g) Viol, esclavage sexuel, prostitution forc�e, grossesse forc�e, st�rilisation forc�e et toute autre forme de violence sexuelle de gravit� comparable; h) Pers�cution de tout groupe ou de toute collectivit� identifiable pour des motifs d'ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste au sus du paragraphe 3, ou en fonction d'autres crit�res universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corr�lation avec tout acte vis� dans le pr�sent paragraphe ou tout crime relevant de la comp�tence de la Cour; i) Disparitions forc�es; j) Apartheid; k) Autres actes inhumains de caract�re analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves � l'int�grit� physique ou � la sant� physique ou mentale. 2 Aux fins du paragraphe 1 : a) Par attaque lanc�e contre une population civile, on entend le comportement qui consiste � multiplier les actes vis�s au paragraphe 1 � l'encontre d'une population civile quelconque, en application ou dans la poursuite de la politique d'un �tat ou d'une organisation ayant pour but une telle attaque; b) Par extermination, on entend notamment le fait d'imposer intentionnellement des conditions de vie, telles que la privation d'acc�s � la nourriture et aux m�dicaments, calcul�es pour entra�ner la destruction d'une partie de la population; c) Par r�duction en esclavage, on entend le fait d'exercer sur une personne l'un ou l'ensemble des pouvoirs li�s au droit de propri�t�, y compris dans le cadre de la traite des �tre humains, en particulier des femmes et des enfants � des fins d'exploitation sexuelle; d) Par d�portation ou transfert forc� de population, on entend le fait de d�placer des personnes, en les expulsant ou par d'autres moyens coercitifs, de la r�gion o� elles se trouvent l�galement, sans motifs admis en droit international; e) Par torture, on entend le fait d'infliger intentionnellement une douleur ou des souffrances aigu�s, physiques ou mentales, � une personne se trouvant sous sa garde ou sous son contr�le; l'acception de ce terme ne s'�tend pas � la douleur ou aux souffrances r�sultant uniquement de sanctions l�gales, inh�rentes � ces sanctions ou occasionn�es par elles; f) Par grossesse forc�e, on entend la d�tention ill�gale d'une femme mise enceinte de force, dans l'intention de modifier la composition ethnique d'une population ou de commettre d'autres violations graves du droit international. Cette d�finition ne peut en aucune mani�re s'interpr�ter comme ayant une incidence sur les lois nationales relatives � l'interruption de grossesse; g) Par pers�cution, on entend le d�ni intentionnel et grave de droits fondamentaux en violation du droit international, pour des motifs li�s � l'identit� du groupe ou de la collectivit� qui en fait l'objet; h) Par apartheid, on entend des actes inhumains analogues � ceux que vise le paragraphe 1, commis dans le cadre d'un r�gime institutionnalis� d'oppression syst�matique et de domination d'un groupe racial sur tout autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l'intention de maintenir ce r�gime; i) Par disparitions forc�es, on entend les cas o� des personnes sont arr�t�es, d�tenues ou enlev�es par un �tat ou une organisation politique ou avec l'autorisation, l'appui ou l'assentiment de cet �tat ou de cette organisation, qui refuse ensuite d'admettre que ces personnes sont priv�es de libert� ou de r�v�ler le sort qui leur est r�serv� ou l'endroit o� elles se trouvent, dans l'intention de les soustraire � la protection de la loi pendant une p�riode prolong�e. 3. Aux fins du pr�sent Statut, le terme sexe s'entend de l'un et l'autre sexes, masculin et f�minin, suivant le contexte de la soci�t�. Il n'implique aucun autre sens. COUR PENALE INTERNATIONALE DE LA HAYE BUREAU DU PROCUREUR GENERAL LA HAYE NETHERLAND PAYS BAS Lees verder... |  | ABUS SEXUELS SUR MINEURS EN GENDARMERIE NATIONALE EU LES CHILDRENS - 03.09.2011 13:10
LES RESEAUX PEDOPHILES DE LA GENDARMERIE DE FRANCE Les fran�ais et les europ�ens ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d'ailleurs puisqu'ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! Les fran�ais et les europ�ens ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d'ailleurs puisqu'ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! LES RESEAUX PEDOPHILES DE LA GENDARMERIE DE FRANCE THE FRENCH NETWORK CRIMINAL GENDARMERIE PEDOPHILY SYSTEM En effet un colonel de gendarmerie fait pression sur VALENTINE, avec un maire pour complice et deux hommes politiques en vue, en d�clarant � VALENTINE: "On va s'occuper de ton cas"! Mr le p�dophile colonel nous les petits nous allons vous occuper de votre cas et vous foutre � la prison internationale de la haye pour l'�ternit� et Dieu et La Nature vous corrigeront tr�s vite :o) Mais oui mr le colonel p�dophile nous allons nous occuper de votre cas de criminel p�dophilique et vos r�seaux criminels p�dophiles dans nos gendarmeries fran�aises et nous allons nous occuper de votre cas de sale p�dophile mr le p�dophile de colonel sale exhibitionniste de pauvre bite et y a pas que celui l� lol devant nous les petits nous connaissons bien vos syst�mes et vos r�seaux de pervers de gendarmes p�dophiles en gendarmerie et les fameux clins d'oeil des pervers p�dophiles gendarmes ou de mains sur nos petits culs que vous faites � nous les petits ! de gendarmes en boxer qui nous draguent et nous violent nous les petits ! mais aussi ceux des autres r�seaux p�dophiles de l'ext�rieur qui se branlent devant nous les petits ou nous violent nous les petits ou baignent journalistes policiers et magistrats et populations p�dophiles urbaines et paysannes qui ne pensent qu'� baiser nous les petits. Ce sont des malades criminels p�dophiles et le cas de ce colonel p�dophile en est un bon exemple ! et oui dans les villages la gendarmerie fran�aise locale couvrent avec la magistrature les r�seaux p�dophiles de chacune des r�gions de france ! Les fran�ais ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d'ailleurs puisqu'ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! Mr le colonel p�dophile combien de cars d'enfants viol�s tu�s d�port�s et vou�s aux traffics de p�dophiles laiss�es vous circuler librement la nuit sur les routes fran�aises de votre france p�dophile pendant que les fran�ais dorment sur un oeil et ne sont pas dupes non plus : r�ponse un paquet lol Et combien d'enfants viol�es sexuellement et tu�s dans des lieux cach�s et discrets � la ville et � la campagne ( chateaux, manoirs, discoth�ques, maisons spoli�es par la justice locale car la justice locale s'en sert ensuite de partouzes de petits justement avec des notables p�dophiles pour information et la rg gendarmique participe aussi � ces soir�es p�dophiles,.... ) : r�ponse un paquet lol C'est vraiment bete pour vous mr le colonel criminel p�dophile de notre gendarmerie : le tribunal de la haye est au courant depuis belle lurette de m�me qu'interpol et europol Google l'a mis en ligne internationalement et le monde entier est au courant Ah oui dixit un juriste : la p�dophilie c'est monnaie courante dans le milieu judiciaire ! et dixit deux policiers : certains policiers baisent avec des petits c'est d�ja arriv� ! Sa troupe de p�dophiles gendarmes couvrent �galement les r�seaux externes p�dophiles � notre gendarmerie : la sp�cialit�e de la gendarmerie c'est de laisser les r�seaux p�dophiles externes � continuer � violer les petits les procureurs en sont contents d'ailleurs et laissent faire avec l'aval de gendarmeries locales dans chacune des villes de france et des villages de france sachant que d'autres petits ont �t� viol�es dans notre gendarmerie dans nos maisons de la gendarmerie mais aussi � l'ext�rieur apr�s nous avoir bien d�foncer nos petits anus pendant la nuit sa ils savent bien faire ces ordures d'adultes de pervers de p�dophiles gendarmes et nous exhibiter leurs zizis devant nous les petits et nous d�calotter notre p'tit zizi apr�s ils nous le sucent et apr�s ils nous le font sucer leurs zizis et nous violent et mettent leurs gros zizis dans nos petits anus et nous nikent sexuellement ces gendarmes p�dophiles au sein de notre gendarmerie Rassurez vous les Moniteurs au sein de nos maisons de la gendarmerie sont aussi de v�ritables pervers p�dophiles :c'est les moniteurs qui se collent � nous les petits et c'est je te met la main sur nos petits culs puis vers nos petites cuisses et apr�s c'est qu'ils mettent leur zizi ces tordus de malades de criminels de p�dophiles de gendarmes qui durcit contre nos petits fesses et ils entrent apr�s leur zizi dans notre petit anus en tant que petits en gendarmerie. Sa ils savent bien faire ces ordures de pervers de p�dophiles gendarmes et nous exhibiter leurs zizis devant nous les petits et nous d�calotter notre p'tit zizi apr�s ils nous le sucent et apr�s ils nous le font sucer leurs zizis et nous violent et mettent leurs gros zizis dans nos petits anus et nous nikent sexuellement ces gendarmes p�dophiles au sein de nos maisons de la gendarmerie. Meme chez les nourrisses en gendarmerie ou chez des gendarmes p�dophiles : colonels, lieutenants, majors, gendarmes, G.A.c'est au lieu du dessin anim� ils nous mettent nous les petits des films X dans les casernes de gendarmerie au lieu de nous mettre nos dessins anim�es pr�f�r�s : ce sont des criminels qui s�vissent dans nos gendarmeries. En prime font sauter leurs PVS et font faire au noir les travaux dans leurs immeubles respectifs ou maisons. Le fisc peut dormir tranquille avec toute cette corruption gendarmique ! Mais ils ne se laissent plus faire des gendarmes se prennent des redressements fiscaux ! Na la la la l�re :o) C'est bien fait ! :o) et l'Europe entube la gendarmerie p�dophilique fran�aise ! Na la la la l�re :o) Na la la la l�re :o) "Nous connaissions ces soir�es habituelles, � Boulogne sur Mer ou � Avesnes-sur-Helpe. Des soir�es bi�re o� on invite les voisins, on boit beaucoup, on joue aux cartes ou au jeu de l'oie, et o� le gagnant peut choisir une petite fille, avec l'accord des parents", a expliqu� le magistrat afin de d�fendre le juge Burgaud - qui sera d'ailleurs fix� sur son sort le 27 mars . Et il a ajout� : "L�-bas, ce ne sont pas des psychologues qu'il faut envoyer, mais des sociologues ou des ethnologues." Curieusement cette phrase a �t� prononc�e par les m�mes � l'encontre de votre r�dacteur en chef pr�f�r�, lors de sa garde � vue, lors de ses perquisitions, lors de ses r�unions publiques, lors de ses audiences aux tribunaux! M�me menace prof�r�e � un avocat! Ces m�mes personnages qui essayent d'�touffer l'affaire de VALENTINE pour prot�ger leur copain, seraient impliqu�s dans l'affaire de la jeune SYLVIA, ag�e de 14 ans, d�coup�e en morceau (lors des soir�es bi�res?)et maquill�e en accident de voiture? De plus ce qui prouve la complicit� des juges avec les politiques est la mise en cause par le Rapporteur de l'O.N.U de la FRANCE, dans les dossiers concernant les abus sexuels et la p�dophilie qui sont de plus en plus massivement d�nonc�s (par la COUR DES DROITS DE L'HOMME aussi). Curieusement les juges savoyards n'ont pas demand� une commission rogatoire internationale pour regarder la d�position faite sur vid�o par les deux enfants de VALENTINE dans les locaux de la DJPS � Gen�ve. Ce n'est pas un oubli, ces magistrats sont trop professionnels, c'est donc intentionnellement qu'ils font entrave � la bonne marche de la justice en faveur de VALENTINE pour prot�ger leurs copains politiques! CQFD! L'ECHO des MONTAGNES, a fait cet article dans le l�gitime but de vous informer, ce qui est un droit et un devoir dans une soci�t� d�mocratique non perverse ACTION INNOCENCE Action Innocence est NOTRE ONG luttant contre la p�dophilie et les abus sexuels qui s'y passent en magistrature en police en gendarmerie ou � l'ext�rieur
http://www.actioninnocence.org/france/web/presentation....ge=88 ANTI PEDOPHIL
http://www.antipedophil.fr UNICEF
http://www.unicef.org/protection/ INNOCENCE EN DANGER
http://www.innocenceendanger.org/?id=402&L=3_blank ASSOCIATION DE LUTTE CONTRE LA PEDOPHILIE
http://www.lap.asso.fr/ INTERNATIONAL CRIMINAL COURT
http://www.icc-cpi.int/Menus/ICC LAFAYETTE DECLARATION OF HUMANS RIGHTS
http://s.bourdreux.free.fr/cabinet_Sigaud/chronologie/lafayette.jpg
http://www.un.org/en/documents/udhr Article 7: CRIMES CONTRE L'HUMANIT� INTERNATIONAL CRIMINAL COURT 1. Aux fins du pr�sent Statut, on entend par crime contre l'humanit� l'un des actes ci-apr�s commis dans le cadre d'une attaque g�n�ralis�e ou syst�matique lanc�e contre une population civile et en connaissance de cette attaque : a) Meurtre; b) Extermination; c) R�duction en esclavage; d) D�portation ou transfert forc� de population; e) Emprisonnement ou autre forme de privation grave de libert� physique en violation des dispositions fondamentales du droit international; f) Torture; g) Viol, esclavage sexuel, prostitution forc�e, grossesse forc�e, st�rilisation forc�e et toute autre forme de violence sexuelle de gravit� comparable; h) Pers�cution de tout groupe ou de toute collectivit� identifiable pour des motifs d'ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste au sus du paragraphe 3, ou en fonction d'autres crit�res universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corr�lation avec tout acte vis� dans le pr�sent paragraphe ou tout crime relevant de la comp�tence de la Cour; i) Disparitions forc�es; j) Apartheid; k) Autres actes inhumains de caract�re analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves � l'int�grit� physique ou � la sant� physique ou mentale. 2 Aux fins du paragraphe 1 : a) Par attaque lanc�e contre une population civile, on entend le comportement qui consiste � multiplier les actes vis�s au paragraphe 1 � l'encontre d'une population civile quelconque, en application ou dans la poursuite de la politique d'un �tat ou d'une organisation ayant pour but une telle attaque; b) Par extermination, on entend notamment le fait d'imposer intentionnellement des conditions de vie, telles que la privation d'acc�s � la nourriture et aux m�dicaments, calcul�es pour entra�ner la destruction d'une partie de la population; c) Par r�duction en esclavage, on entend le fait d'exercer sur une personne l'un ou l'ensemble des pouvoirs li�s au droit de propri�t�, y compris dans le cadre de la traite des �tre humains, en particulier des femmes et des enfants � des fins d'exploitation sexuelle; d) Par d�portation ou transfert forc� de population, on entend le fait de d�placer des personnes, en les expulsant ou par d'autres moyens coercitifs, de la r�gion o� elles se trouvent l�galement, sans motifs admis en droit international; e) Par torture, on entend le fait d'infliger intentionnellement une douleur ou des souffrances aigu�s, physiques ou mentales, � une personne se trouvant sous sa garde ou sous son contr�le; l'acception de ce terme ne s'�tend pas � la douleur ou aux souffrances r�sultant uniquement de sanctions l�gales, inh�rentes � ces sanctions ou occasionn�es par elles; f) Par grossesse forc�e, on entend la d�tention ill�gale d'une femme mise enceinte de force, dans l'intention de modifier la composition ethnique d'une population ou de commettre d'autres violations graves du droit international. Cette d�finition ne peut en aucune mani�re s'interpr�ter comme ayant une incidence sur les lois nationales relatives � l'interruption de grossesse; g) Par pers�cution, on entend le d�ni intentionnel et grave de droits fondamentaux en violation du droit international, pour des motifs li�s � l'identit� du groupe ou de la collectivit� qui en fait l'objet; h) Par apartheid, on entend des actes inhumains analogues � ceux que vise le paragraphe 1, commis dans le cadre d'un r�gime institutionnalis� d'oppression syst�matique et de domination d'un groupe racial sur tout autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l'intention de maintenir ce r�gime; i) Par disparitions forc�es, on entend les cas o� des personnes sont arr�t�es, d�tenues ou enlev�es par un �tat ou une organisation politique ou avec l'autorisation, l'appui ou l'assentiment de cet �tat ou de cette organisation, qui refuse ensuite d'admettre que ces personnes sont priv�es de libert� ou de r�v�ler le sort qui leur est r�serv� ou l'endroit o� elles se trouvent, dans l'intention de les soustraire � la protection de la loi pendant une p�riode prolong�e. 3. Aux fins du pr�sent Statut, le terme sexe s'entend de l'un et l'autre sexes, masculin et f�minin, suivant le contexte de la soci�t�. Il n'implique aucun autre sens. COUR PENALE INTERNATIONALE DE LA HAYE BUREAU DU PROCUREUR GENERAL LA HAYE NETHERLAND PAYS BAS Lees verder... |  | ABUS SEXUELS SUR MINEURS AU SEIN DES CASERNES DE GENDARMERIE EUROJUSTICE EU - 03.09.2011 13:09
LES RESEAUX PEDOPHILES DE LA GENDARMERIE DE FRANCE Les fran�ais et les europ�ens ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d'ailleurs puisqu'ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! Les fran�ais et les europ�ens ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d'ailleurs puisqu'ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! LES RESEAUX PEDOPHILES DE LA GENDARMERIE DE FRANCE THE FRENCH NETWORK CRIMINAL GENDARMERIE PEDOPHILY SYSTEM En effet un colonel de gendarmerie fait pression sur VALENTINE, avec un maire pour complice et deux hommes politiques en vue, en d�clarant � VALENTINE: "On va s'occuper de ton cas"! Mr le p�dophile colonel nous les petits nous allons vous occuper de votre cas et vous foutre � la prison internationale de la haye pour l'�ternit� et Dieu et La Nature vous corrigeront tr�s vite :o) Mais oui mr le colonel p�dophile nous allons nous occuper de votre cas de criminel p�dophilique et vos r�seaux criminels p�dophiles dans nos gendarmeries fran�aises et nous allons nous occuper de votre cas de sale p�dophile mr le p�dophile de colonel sale exhibitionniste de pauvre bite et y a pas que celui l� lol devant nous les petits nous connaissons bien vos syst�mes et vos r�seaux de pervers de gendarmes p�dophiles en gendarmerie et les fameux clins d'oeil des pervers p�dophiles gendarmes ou de mains sur nos petits culs que vous faites � nous les petits ! de gendarmes en boxer qui nous draguent et nous violent nous les petits ! mais aussi ceux des autres r�seaux p�dophiles de l'ext�rieur qui se branlent devant nous les petits ou nous violent nous les petits ou baignent journalistes policiers et magistrats et populations p�dophiles urbaines et paysannes qui ne pensent qu'� baiser nous les petits. Ce sont des malades criminels p�dophiles et le cas de ce colonel p�dophile en est un bon exemple ! et oui dans les villages la gendarmerie fran�aise locale couvrent avec la magistrature les r�seaux p�dophiles de chacune des r�gions de france ! Les fran�ais ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d'ailleurs puisqu'ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! Mr le colonel p�dophile combien de cars d'enfants viol�s tu�s d�port�s et vou�s aux traffics de p�dophiles laiss�es vous circuler librement la nuit sur les routes fran�aises de votre france p�dophile pendant que les fran�ais dorment sur un oeil et ne sont pas dupes non plus : r�ponse un paquet lol Et combien d'enfants viol�es sexuellement et tu�s dans des lieux cach�s et discrets � la ville et � la campagne ( chateaux, manoirs, discoth�ques, maisons spoli�es par la justice locale car la justice locale s'en sert ensuite de partouzes de petits justement avec des notables p�dophiles pour information et la rg gendarmique participe aussi � ces soir�es p�dophiles,.... ) : r�ponse un paquet lol C'est vraiment bete pour vous mr le colonel criminel p�dophile de notre gendarmerie : le tribunal de la haye est au courant depuis belle lurette de m�me qu'interpol et europol Google l'a mis en ligne internationalement et le monde entier est au courant Ah oui dixit un juriste : la p�dophilie c'est monnaie courante dans le milieu judiciaire ! et dixit deux policiers : certains policiers baisent avec des petits c'est d�ja arriv� ! Sa troupe de p�dophiles gendarmes couvrent �galement les r�seaux externes p�dophiles � notre gendarmerie : la sp�cialit�e de la gendarmerie c'est de laisser les r�seaux p�dophiles externes � continuer � violer les petits les procureurs en sont contents d'ailleurs et laissent faire avec l'aval de gendarmeries locales dans chacune des villes de france et des villages de france sachant que d'autres petits ont �t� viol�es dans notre gendarmerie dans nos maisons de la gendarmerie mais aussi � l'ext�rieur apr�s nous avoir bien d�foncer nos petits anus pendant la nuit sa ils savent bien faire ces ordures d'adultes de pervers de p�dophiles gendarmes et nous exhibiter leurs zizis devant nous les petits et nous d�calotter notre p'tit zizi apr�s ils nous le sucent et apr�s ils nous le font sucer leurs zizis et nous violent et mettent leurs gros zizis dans nos petits anus et nous nikent sexuellement ces gendarmes p�dophiles au sein de notre gendarmerie Rassurez vous les Moniteurs au sein de nos maisons de la gendarmerie sont aussi de v�ritables pervers p�dophiles :c'est les moniteurs qui se collent � nous les petits et c'est je te met la main sur nos petits culs puis vers nos petites cuisses et apr�s c'est qu'ils mettent leur zizi ces tordus de malades de criminels de p�dophiles de gendarmes qui durcit contre nos petits fesses et ils entrent apr�s leur zizi dans notre petit anus en tant que petits en gendarmerie. Sa ils savent bien faire ces ordures de pervers de p�dophiles gendarmes et nous exhibiter leurs zizis devant nous les petits et nous d�calotter notre p'tit zizi apr�s ils nous le sucent et apr�s ils nous le font sucer leurs zizis et nous violent et mettent leurs gros zizis dans nos petits anus et nous nikent sexuellement ces gendarmes p�dophiles au sein de nos maisons de la gendarmerie. Meme chez les nourrisses en gendarmerie ou chez des gendarmes p�dophiles : colonels, lieutenants, majors, gendarmes, G.A.c'est au lieu du dessin anim� ils nous mettent nous les petits des films X dans les casernes de gendarmerie au lieu de nous mettre nos dessins anim�es pr�f�r�s : ce sont des criminels qui s�vissent dans nos gendarmeries. En prime font sauter leurs PVS et font faire au noir les travaux dans leurs immeubles respectifs ou maisons. Le fisc peut dormir tranquille avec toute cette corruption gendarmique ! Mais ils ne se laissent plus faire des gendarmes se prennent des redressements fiscaux ! Na la la la l�re :o) C'est bien fait ! :o) et l'Europe entube la gendarmerie p�dophilique fran�aise ! Na la la la l�re :o) Na la la la l�re :o) "Nous connaissions ces soir�es habituelles, � Boulogne sur Mer ou � Avesnes-sur-Helpe. Des soir�es bi�re o� on invite les voisins, on boit beaucoup, on joue aux cartes ou au jeu de l'oie, et o� le gagnant peut choisir une petite fille, avec l'accord des parents", a expliqu� le magistrat afin de d�fendre le juge Burgaud - qui sera d'ailleurs fix� sur son sort le 27 mars . Et il a ajout� : "L�-bas, ce ne sont pas des psychologues qu'il faut envoyer, mais des sociologues ou des ethnologues." Curieusement cette phrase a �t� prononc�e par les m�mes � l'encontre de votre r�dacteur en chef pr�f�r�, lors de sa garde � vue, lors de ses perquisitions, lors de ses r�unions publiques, lors de ses audiences aux tribunaux! M�me menace prof�r�e � un avocat! Ces m�mes personnages qui essayent d'�touffer l'affaire de VALENTINE pour prot�ger leur copain, seraient impliqu�s dans l'affaire de la jeune SYLVIA, ag�e de 14 ans, d�coup�e en morceau (lors des soir�es bi�res?)et maquill�e en accident de voiture? De plus ce qui prouve la complicit� des juges avec les politiques est la mise en cause par le Rapporteur de l'O.N.U de la FRANCE, dans les dossiers concernant les abus sexuels et la p�dophilie qui sont de plus en plus massivement d�nonc�s (par la COUR DES DROITS DE L'HOMME aussi). Curieusement les juges savoyards n'ont pas demand� une commission rogatoire internationale pour regarder la d�position faite sur vid�o par les deux enfants de VALENTINE dans les locaux de la DJPS � Gen�ve. Ce n'est pas un oubli, ces magistrats sont trop professionnels, c'est donc intentionnellement qu'ils font entrave � la bonne marche de la justice en faveur de VALENTINE pour prot�ger leurs copains politiques! CQFD! L'ECHO des MONTAGNES, a fait cet article dans le l�gitime but de vous informer, ce qui est un droit et un devoir dans une soci�t� d�mocratique non perverse ACTION INNOCENCE Action Innocence est NOTRE ONG luttant contre la p�dophilie et les abus sexuels qui s'y passent en magistrature en police en gendarmerie ou � l'ext�rieur
http://www.actioninnocence.org/france/web/presentation....ge=88 ANTI PEDOPHIL
http://www.antipedophil.fr UNICEF
http://www.unicef.org/protection/ INNOCENCE EN DANGER
http://www.innocenceendanger.org/?id=402&L=3_blank ASSOCIATION DE LUTTE CONTRE LA PEDOPHILIE
http://www.lap.asso.fr/ INTERNATIONAL CRIMINAL COURT
http://www.icc-cpi.int/Menus/ICC LAFAYETTE DECLARATION OF HUMANS RIGHTS
http://s.bourdreux.free.fr/cabinet_Sigaud/chronologie/lafayette.jpg
http://www.un.org/en/documents/udhr Article 7: CRIMES CONTRE L'HUMANIT� INTERNATIONAL CRIMINAL COURT 1. Aux fins du pr�sent Statut, on entend par crime contre l'humanit� l'un des actes ci-apr�s commis dans le cadre d'une attaque g�n�ralis�e ou syst�matique lanc�e contre une population civile et en connaissance de cette attaque : a) Meurtre; b) Extermination; c) R�duction en esclavage; d) D�portation ou transfert forc� de population; e) Emprisonnement ou autre forme de privation grave de libert� physique en violation des dispositions fondamentales du droit international; f) Torture; g) Viol, esclavage sexuel, prostitution forc�e, grossesse forc�e, st�rilisation forc�e et toute autre forme de violence sexuelle de gravit� comparable; h) Pers�cution de tout groupe ou de toute collectivit� identifiable pour des motifs d'ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste au sus du paragraphe 3, ou en fonction d'autres crit�res universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corr�lation avec tout acte vis� dans le pr�sent paragraphe ou tout crime relevant de la comp�tence de la Cour; i) Disparitions forc�es; j) Apartheid; k) Autres actes inhumains de caract�re analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves � l'int�grit� physique ou � la sant� physique ou mentale. 2 Aux fins du paragraphe 1 : a) Par attaque lanc�e contre une population civile, on entend le comportement qui consiste � multiplier les actes vis�s au paragraphe 1 � l'encontre d'une population civile quelconque, en application ou dans la poursuite de la politique d'un �tat ou d'une organisation ayant pour but une telle attaque; b) Par extermination, on entend notamment le fait d'imposer intentionnellement des conditions de vie, telles que la privation d'acc�s � la nourriture et aux m�dicaments, calcul�es pour entra�ner la destruction d'une partie de la population; c) Par r�duction en esclavage, on entend le fait d'exercer sur une personne l'un ou l'ensemble des pouvoirs li�s au droit de propri�t�, y compris dans le cadre de la traite des �tre humains, en particulier des femmes et des enfants � des fins d'exploitation sexuelle; d) Par d�portation ou transfert forc� de population, on entend le fait de d�placer des personnes, en les expulsant ou par d'autres moyens coercitifs, de la r�gion o� elles se trouvent l�galement, sans motifs admis en droit international; e) Par torture, on entend le fait d'infliger intentionnellement une douleur ou des souffrances aigu�s, physiques ou mentales, � une personne se trouvant sous sa garde ou sous son contr�le; l'acception de ce terme ne s'�tend pas � la douleur ou aux souffrances r�sultant uniquement de sanctions l�gales, inh�rentes � ces sanctions ou occasionn�es par elles; f) Par grossesse forc�e, on entend la d�tention ill�gale d'une femme mise enceinte de force, dans l'intention de modifier la composition ethnique d'une population ou de commettre d'autres violations graves du droit international. Cette d�finition ne peut en aucune mani�re s'interpr�ter comme ayant une incidence sur les lois nationales relatives � l'interruption de grossesse; g) Par pers�cution, on entend le d�ni intentionnel et grave de droits fondamentaux en violation du droit international, pour des motifs li�s � l'identit� du groupe ou de la collectivit� qui en fait l'objet; h) Par apartheid, on entend des actes inhumains analogues � ceux que vise le paragraphe 1, commis dans le cadre d'un r�gime institutionnalis� d'oppression syst�matique et de domination d'un groupe racial sur tout autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l'intention de maintenir ce r�gime; i) Par disparitions forc�es, on entend les cas o� des personnes sont arr�t�es, d�tenues ou enlev�es par un �tat ou une organisation politique ou avec l'autorisation, l'appui ou l'assentiment de cet �tat ou de cette organisation, qui refuse ensuite d'admettre que ces personnes sont priv�es de libert� ou de r�v�ler le sort qui leur est r�serv� ou l'endroit o� elles se trouvent, dans l'intention de les soustraire � la protection de la loi pendant une p�riode prolong�e. 3. Aux fins du pr�sent Statut, le terme sexe s'entend de l'un et l'autre sexes, masculin et f�minin, suivant le contexte de la soci�t�. Il n'implique aucun autre sens. COUR PENALE INTERNATIONALE DE LA HAYE BUREAU DU PROCUREUR GENERAL LA HAYE NETHERLAND PAYS BAS Lees verder... |  | CORRUPTION DU TRIBUNAL DU PUY EN VELAY : INTERNEMENTS ABUSIF online - 03.09.2011 11:19
Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre MR FILLON Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre MR FILLON Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises. Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux. Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur : 1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices, 2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ", 3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes, 4�) les liquidateurs judiciaires. Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle. J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus. Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�... Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le. La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ? Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice. Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir. Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es. Marc FILTERMAN PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet : Site sur la Corruption dans les d�partements : http://corruption.ifrance.com/corruption-dysfonctionnem...s.htm Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises. Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux. Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur : 1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices, 2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ", 3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes, 4�) les liquidateurs judiciaires. Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle. J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus. Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�... Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le. La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ? Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice. Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir. Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es. Marc FILTERMAN PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet : Site sur la Corruption dans les d�partements : SPECIAL HAUTE LOIRE CORROMPUE http://www.corruption.ifrance.com/corruption-26-internement-abusif-curatel-extorsion-spoliation.htm Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre MR FILLON Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre MR FILLON Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises. Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux. Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur : 1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices, 2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ", 3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes, 4�) les liquidateurs judiciaires. Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle. J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus. Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�... Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le. La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ? Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice. Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir. Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es. Marc FILTERMAN PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet : Site sur la Corruption dans les d�partements : http://corruption.ifrance.com/corruption-dysfonctionnem...s.htm Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place Monsieur le Premier Ministre Je vous avais �crit il y a quelques mois, en vous pr�cisant que le redressement �conomique de la France ne pouvait se faire que par la baisse des charges, mais aussi par l'�radication des r�seaux de la corruption, occultes, mafieux, qui ont infiltr� toutes les institutions de l'�tat, y compris la justice. Je profite donc de cette lettre pour vous communiquer mes opinions personnelles, et ce que j'ai �t� en mesure de constater sur le terrain. C'est ainsi que de nombreuses villes de France, sont sous le contr�le de collusion de notables mafieux, qui font la loi, leur loi, mais n'applique pas celle de la R�publique. Le terme de collusion de notables � d'ailleurs �t� utilis�s en mars au cours d'un journal t�l�vis�. Une phrase du journal t�l�vis� du 26/06/2003 a retenu toute mon attention. � D�s son arriv�e � Nice, le procureur de Mongolfier avait notamment d�nonc�, une connivence entre des magistrats et certains r�seaux francs ma�ons et affairistes. � Mais aussi la conclusion du 27/06, qui �mane de l'inspection des services judiciaires: � En d'autres mots, � Nice la situation n'est pas si dramatique que cela. � Votre service d'inspection judiciaire � tout � fait raison de faire cette d�claration, puisqu'en effet, Monsieur le Premier Ministre, en r�alit� c'est toute le justice fran�aise qui dysfonctionne � l'�chelon national, dans tous les d�partements de France, surtout � travers des cellules de r�seaux occultes qui ont infiltr� les institutions locales des villes de votre �tat. Certaines villes fonctionnent comme des �lectrons libres, comme des f�odalit�s autonomes avec leurs propres lois, leurs propres r�gles, leurs propres codes, leurs propres r�seaux de trafic d'influence, qui vont bien souvent � l'encontre de la l�gislation r�publicaine en vigueur. Il est toutefois int�ressant de noter que M. Perben a d�clar�, � que d'abord le rapport, il faut le lire enti�rement, � ce qui veut dire qu'il n'est pas dupe, et qu'il a trouv� des choses int�ressantes. Je remarque cependant avec int�r�t, que la gauche reste ici silencieuse, ce qui est surprenant. Vous avez quand m�me eu un mort en prison en d�cembre 97, le PDG d'une soci�t�. Pour s'en convaincre, je n'ai nullement besoin de vous rappeler le contenu du rapport de Transparency International, organisation inconnue du grand public, qui effectue un classement des pays, en fonction du degr� de corruption qui y r�gne. Avec encore un petit peu d'effort, dans deux ans, de la troisi�me place, la France devrait obtenir la premi�re place, sans la moindre difficult�, au hit parade de la corruption. Ce n'est pas seulement Nice, Marseille, Paris, Montpellier, Lorient, mais toutes les villes de France qui sont concern�es par les dysfonctionnements, comme Nantes, dont le rapport cit� � l'�poque dans le Canard Encha�n� a �t� oubli� depuis, du temps o� Mme Guigou �tait ministre de la justice. Il mentionnait que 4000 jugements avaient �t� rendus, et allaient � l'encontre des l�gislations en vigueur, mais silence total. Il n'y a de toute fa�on aucune diff�rence entre les villes de gauche ou droite, c'est pareil partout. Si du c�t� de M. Sarkozy il semble en effet que ses actions am�liorent la situation dans certains secteurs, pour ce qui est de la justice et de vos magistrats, cela ne s'arrange pas. Vous recommandez aux individus de s'installer et de monter des entreprises. Un commer�ant est intervenu � la radio d�but juin, pour indiquer qu'une fois qu'il avait r�ussi � tout monter, sa banque lui avait refus� un pr�t. Il a �t� mis en liquidation, et ses 365.000 F de mat�riel neuf, ont �t� vendus pour 150 euros. Question de l'animateur de RTL, "vous n'avez pas l'impression d'avoir �t� arnaqu�s ?" . "Ah oui, mais cela je n'ai pas le droit de le dire, parce qu'on m'a pr�venu que si je disais cela, je serai poursuivi en diffamation". Cela vous encourage � vous installer. Vos RG seront en mesure de vous communiquer le nom de cette ville, car je n'ai pas tout entendu, mais la collusion de notables est ici parfaitement �vidente. Autre exemple sur LORIENT. Nous voyons dans votre d�mocratie Monsieur le Premier Ministre, des affaires aberrantes, o� une intervenante qui oblige par harc�lement une propri�taire � vendre une maison qui est � son nom, peut bloquer la vente, parce qu'elle ou son notaire refuse de communiquer au vendeur et � son notaire, sa renonciation au droit d'usage et d'habitation. L'affaire a �t� rapport�e � la chambre des notaires de Vannes (qui d�clare t�l�phoniquement recevoir des centaines de lettres de plainte par jour), ainsi qu'au Conseil Sup�rieur du Notariat, qui reconna�t en effet la pr�sence d'une faille juridique. Il est vrai que rien que pour le Morbihan, 3 notaires ont �t� suspendus par la justice la m�me semaine en mai, et d'autres dans d'autres d�partements ont �t� incarc�r�s, ainsi que des clercs de notaire, ou sont en d�licatesse avec le fisc. Bien s�r, comme d'habitude, personne ne peut rien faire, bien qu'on nous pr�cise que le notaire de l'intervenante doit communiquer toutes les pi�ces n�cessaires � la vente de la maison, et notamment pour le fisc pour la plus value. En r�alit�, la propri�taire ne pourra pas le faire, n'ayant pas les pi�ces qui sont entre les mains de l'intervenante. Incroyable dans une d�mocratie, mais vrai. Mieux, plusieurs injonctions de Huissiers ont �t� exp�di�es � cette victime, mais chose aberrante, sans communication des reconnaissances de dettes, dont elle ignorait en plus l'existence. Apr�s on demande � la victime d'aller se d�fendre, mais contre quoi, puisque les pi�ces ne lui ont jamais �t� communiqu�es, m�me si certains affirment le contraire. Il faut savoir que des huissiers refusent de noter sur leur PV � la demande de la victime, que les pi�ces n'ont pas �t� communiqu�es. Or comme vous le savez, les affirmations d'un individu asserment�, m�me si elles sont fausses, seront retenues contre des victimes qui ne le sont pas. Il y a donc urgence � changer vos lois et � faire le m�nage, car cela permet aux criminels d'aller toujours plus loin. Toujours est-il qu'un procureur courageux en a eu assez des frasques dans son d�partement, et il a carr�ment fait �crouer deux notaires. Il est regrettable qu'ils ne soient pas tous aussi courageux et respectueux de l'�thique, et que dans certaines villes, ce soit carr�ment la loi du copinage et de la jungle qui y r�gne. Je vous recommande en passant le livre � Les Victimes de notaires. � Je vous rappellerai pour information une �mission de M. Dechavanne, " Coucou c'est nous", qui remonte � une dizaine d'ann�es, o� les m�thodes de la profession des notaires avaient �t� d�voil�es, abus de confiance, faux en �criture, intimidations, menaces de mort et physiques, etc... La revue Capital de mars 2003 � d'ailleurs d�montr� que les malversations dans cette profession n'ont jamais cess�, et continuent de plus belles, m�me pour escroquer le fisc, puisque le contr�le, et les sanctions par la justice locale sont pratiquement totalement inexistantes, entre notables locaux. Certains, preuves l� aussi � l'appui, se fendant m�me d'une lettre, pour signifier qu'ils ne peuvent rien faire, car ils font parti je cite, � du m�me club service �. Ceux qui me connaissent dans certains milieux, y compris dans les RG, savent tr�s bien comment je travaille, et que je n'affirme jamais rien sans preuves. C'est d'ailleurs valable pour tous les membres de notre r�seau. Comment rep�rer les corrompus qui ont infiltr� la justice ? Copinage, r�seaux, �coutes t�l�phoniques sauvages, non remise ou dissimulation de documents par des auxiliaires de justice (comme les secr�taires, fonctionnaires, huissiers, les clercs de notaires) parfois m�me � l'insu de leur sup�rieur, passe droit, non respect des l�gislation en vigueur, abus de confiance, faux en �criture, refus ou non communication par des tribunaux d'anciens jugements archiv�s ou pi�ces demand�es pour certaines affaires aux demandeurs, photocopies montages, vols de pi�ces dans les tribunaux, jurisprudences abusives, lois sur mesure, vices de proc�dure, harc�lements, internements abusifs, lib�ration en �change de signatures de documents douteux ou reconnaissances de dette, sont les armes principales des r�seaux mafieux qui d�s�quilibrent fortement la balance de la justice au profit, d'escrocs, de collusions de notables corrompus. Vous avez r�cemment renforc� les lois contre les mauvais conducteurs, et ceux qui absorbent des substances. On peut en f�liciter votre gouvernement pour cette action. Cependant, je tiens � attirer votre attention sur le fait que vous avez aussi des criminels qui n'h�sitent pas � mettre des substances pharmaceutiques dans la boisson de leur victime � leur insu, pour endormir leur vigilance en mati�re comptable et d�cisionnelle, annihiler toute volont� de r�action et de contr�le. L'objectif est de d�structurer l'individu comme on le fait dans les sectes, ici en l'occurrence, les sectes des notables douteux. L'utilisation de certaines de ces substances que je ne citerai pas ici, cette lettre �tant publique, permettent de faire craquer les victimes quand on le d�sir, sur commande. Il suffit apr�s sevrage, de stopper br�talement l'utilisation de la substance, ce qui permet de faire craquer la victime au moment souhait� dans le but de la faire interner par exemple, ou pour faire signer des documents. Il y a plus grave. Ces personnes conduisent, ou peuvent faire des sport � haut risque. Une baisse de vigilance va se traduire par une baisse des temps de r�action, ce qui va mettre en danger la vie de la victime, et de tous ceux qui croiseront son chemin en voiture. Si cet individu conduit en ignorant qu'il est sous psychotrope, fait un malaise, et perd le contr�le de sa voiture sur une autoroute, il n'est pas difficile d'imaginer le nombre de morts que cela peut entra�ner. Il y a donc l� aussi n�cessit� de renforcer la surveillance sur certaines substances pharmaceutiques, qui peuvent �tre parfois d�livr�s avec la complicit� de m�decins, voire m�me sans ordonnance, pour �viter de laisser des traces. Dans de tels cas, il est n�cessaire d'incarc�rer les auteurs de ces crimes pour mise en danger de la vie d'autrui, et de les faire condamner � de lourdes peines de prison. Elles s'imposent contre cette race de criminels totalement inconnus, quand ils sont pris sur le fait, pour dissuader l'utilisation abusive de psychotropes. Je suis l� aussi en mesure d'expliquer dans le cadre d'une commission d'enqu�te, pourquoi les preuves sont pratiquement toujours impossibles � obtenir, m�me si les victimes ont l'id�e de mettre de c�t� leur boisson ou repas pour les faire analyser ensuite. Ce moyen dont on n'entend jamais parler, est pourtant utilis� pour forcer la main aux personnes r�ticentes, pour leur �ter l'envie de s'opposer � certaines op�rations, financi�res, immobili�res, d�localisation, ou fermetures d'entreprises. Mais il y a encore pire dans ce pays. Vous avez des notables qui font de leurs enfants des prostitu�s, ou qui les " vendent " aux r�seaux de la prostitutions pour faire de l'argent, ou pour acqu�rir un rang social sup�rieur, et qui sont les premiers � venir r�clamer un peu d'humanit�. Vous avez des parents qui font de leurs enfants des hommes de paille pour des d�tournements, d'autres qui r�duisent un de leurs enfant � l'esclavage par harc�lement, et enfin ceux qui font proc�der � des internements abusifs pour mieux vider les comptes, effectuer des op�rations immobili�res, ou faire signer des documents qui serviront � faire du chantage par la suite. Les inventeurs ou petits chefs d'entreprise face aux groupes ne sont pas �pargn�s par ces proc�d�s criminels, car ils sont aussi concern�s; sans parler des morts douteuses de certains agents de services secrets pour certaines affaires. Les incin�rations posent d'ailleurs un tr�s s�rieux probl�me, car il n'y a aucun contr�le, aucune autopsie. Cela ne peut s'op�rer bien �videmment sans la complicit� d'auxiliaires de justice, ou celle de leurs collaborateurs qui informent ou travaillent pour la partie adverse, et qui pratiquent aussi l'intimidation t�l�phonique, pour faire signer des documents insignables, comme j'ai pu le constater � plusieurs reprises. Je suis en mesure de communiquer les preuves n�cessaires en cas de cr�ation d'une commission d'enqu�te, qui sera de toute fa�on n�cessaire, apr�s tout ce que je d�couvre, ou suite aux informations qu'on me communique. Les �coutes t�l�phoniques des RG ou autres services, ont dans ce cas un avantage certain, contre ce type de criminel, qui ignore que leur victime est sur �coute pour diverses raisons. Le plus souvent, des notables douteux en bande organis�e pratiquent le harc�lement pour mieux faire craquer leurs victimes, ce qui donnerait environ 10.000 internements abusifs par an en France. Je vous recommande de prendre en r�f�rence le livre � Les asiles de la Honte �, qui dresse un panel d'exemples. Si nous rajoutons � cela des journalistes d'investigation et cam�raman qui sont pris en chasse par des directeurs de clinique en grosse cylindr�e, comme nous l'avons vu il y a un an dans un journal t�l�vis�, tous les ingr�dients sont r�unis pour r�aliser des polars. Si des notaires, clercs, huissiers, m�decins, n'�taient pas complices ou � l'origine d'op�rations d'extorsion, la justice serait moins charg�e, il n'y aurait pas autant d'affaires, et plaintes dans les tribunaux. Apr�s avoir re�u de nombreux e-mails sur plusieurs scandales � travers les sites de notre r�seau, ou avoir �t� le t�moin d'affaires, ces abus et internements abusifs sont faciles � rep�rer, car dans ces cas pr�cis, ils s'accompagnent de procuration sur tous les comptes de plusieurs personnes ce qui est ill�gale, d'extorsions de fonds, du vidage des comptes, d'op�rations immobili�res, de faux en �criture, vol ou destruction d'actes notari�s, bancaires, pi�ces comptables, afin que la victime ne dispose plus d'aucune trace. Il faut bien entendu dans certaines affaires la complicit� de magistrats, qui sont bien entendus les premiers aussi pour frauder le fisc, etc... En plus ces individus n'h�sitent pas � faire passer leurs victimes pour des affabulateurs, des fous ou folles, et m�me � les taxer d'ingratitude, pour mieux les spolier ou les discr�diter devant la justice. La publicit� du CSN recommande de passer par un notaire pour faire valoir ses droits. On peut affirmer aujourd'hui sans se tromper, que c'est devenu la pire des solutions. M�me quand on leur signale des anomalies, ils ne sont pas en mesure de les r�soudre. A l'�num�ration de cet inventaire incomplet, on comprend imm�diatement ce qui motive la n�cessit� de cr�er une commissions d'enqu�te parlementaire sur : 1�) les internements abusifs, et m�decins complaisants pour ne pas dire complices, 2�) le fonctionnement du notariat qui dysfonctionne � plein " TUBE ", 3�) les huissiers, qui prennent certaines libert�s, en refusant de communiquer les pi�ces ou les reconnaissances � leurs victimes, 4�) les liquidateurs judiciaires. Ces affaires sont peu importantes pour que la presse nationale s'y int�resse, quant � la presse locale, bien souvent, les r�dacteurs en chef sont trop copains avec les notables locaux pour r�v�ler ces affaires, comme cela a �t� soulign� lors d'une r�union de journalistes r�cemment. C'est la raison pour laquelle des personnes victimes de votre syst�me judiciaire, lorsqu'elles ne peuvent s'exprimer sur une radio en direct ou par t�l�phone, d�noncent tous les dysfonctionnements de votre justice sur Internet, qui est le seul moyen de d�fense contre des r�seaux locaux, auxquels peuvent appartenir des d�put�s. Mais tout cela donne surtout une pi�tre image de la France � l'�tranger, qui pour certaines affaires notariales cit�es lors de cette �mission de M. Dechavanne, avaient fait la une des journaux dans certains pays �trangers europ�ens. Il est donc tentant pour certains de faire censurer ce canal, mais cela constituerait du m�me coup une violation des articles 8 et 10 de la Commission Europ�enne des Droits de l'Homme, dont on se demande si elle sert encore � quelque chose. Tous les pays qui ont laiss� la corruption progresser, voient leur �conomie s'effondrer ou entre les mains des mafias, comme l'Argentine, Bolivie, Colombie, et autres... Je ne pense pas que la situation de la France soit aussi �loign�e de leur position actuelle. J'invite donc tous les internautes victimes de r�seaux locaux et qui liront cette lettre ouverte, a vous �crire pour livrer leurs t�moignages, ou � ouvrir un site internet pour d�voiler toutes les malversations dont ils ont �t� les t�moins, ou encore � m'�crire � mon adresse E-mail ci-dessus. Si vous d�cidez de muter le procureur de Mongolfier, je pense qu'il sera solliciter par les victimes de nombreuses villes de France. Bien que je suis contre la g�n�tique et le clonage, dans le cas pr�sent, je suis pr�t � faire une exception, car il faudrait cloner M. De Mongolfier de nombreuses fois, pour redresser une justice fran�aise en d�route, qui part � la d�rive, on ne sait jusqu'o�... Vous voulez redresser la situation �conomique, vous n'aurez pas le choix, � un moment ou � un autre, vous serez obligez de taper dans les fourmili�res des corrompus mafieux, ou collusion de notables. Certains de vos d�put�s et s�nateurs savent parfaitement bien comment fonctionnent certaines villes. On peut s'�tonner dans une d�mocratie que les notaires, huissiers, membres de tribunaux de commerce ou autres magistrats puissent fonctionner comme des �lectrons libres, en toute impunit�, sans le moindre risque, m�me s'ils commettent des malversations. M�me s'ils se retrouvent un jour en justice, ils sont le plus souvent absout, ou condamn� a de faibles peines, alors que tout autre citoyen serait balanc� en prison comme un vulgaire criminel. La cr�ation d'une brigade d'enqu�teurs travaillant sous de fausses identit�s pour prendre en d�faut les magistrats et auxiliaires de justice qui violent la loi, commettent des abus, est plus que n�cessaire. On s'�tonne d'ailleurs d'une telle absence de contr�le. La question est donc tr�s simple, avez vous l'intention de donner des consignes pour �radiquer les r�seaux mafieux qui ont infiltr� la magistrature, la justice, l'�tat, les institutions, les banques, les tribunaux de commerce, etc ? Inutile de pr�ciser que je n'attends aucune r�ponse de vos services � une telle lettre, o� je met en cause autant de monde, et surtout le fonctionnement de l'�tat et sa justice. Je juge utile de communiquer cette lettre � un des grands ma�tres de la Franc Ma�onnerie pour des raisons �videntes, qui a d�clar� r�cemment que les loges faisaient le m�nage. Ces informations pourront donc lui �tre tr�s utiles, pour cr�er de nouveaux ateliers de travail. Je pense qu'apr�s � l'Appel de Gen�ve � effectu� par les magistrats anticorruptions, � l'Appel de Paris � effectu� en juin par Eva Joly, qu'il serait d'ailleurs souhaitable que la franc ma�onnerie finisse de clarifier sa position, y compris en d�non�ant les abus de leurs fr�res, comme le fit un ex-patron des services secrets. Or suite � cette intervention morale, c'est justement lui qui a �t� vir�, sa seule faute ayant �t� celle de ne pas avoir soutenu un de ses fr�res peu recommandable. Il violait en effet de ce fait le serment d'entraide entre fr�res, qui n'a pourtant pas � outrepasser les lois r�publicaines, comme l'a rappeler un des grands ma�tres de la franc ma�onnerie. J'ose esp�rer que la franc ma�onnerie tiendra compte de ces quelques remarques, et nous verrons bien si d'ici peu les choses bougent. Dans le cas contraire, il ne sera pas n�cessaire de demander une plus grande clarification sur leur position en mati�re de corruption. Il est vrai et il faut le signaler, que des francs ma�ons qui eux aussi d�noncent la corruption, sont �vinc�s, ou font l'objet de menaces physiques, il faut quand m�me le savoir. Vous en souhaitant bonne r�ception, je vous prie d'agr�er Monsieur le Premier Ministre, l'expression de mes salutations distingu�es. Marc FILTERMAN PS: Lettre diffus�e sur la page du site Internet : Site sur la Corruption dans les d�partements : SPECIAL HAUTE LOIRE CORROMPUE http://www.corruption.ifrance.com/corruption-26-internement-abusif-curatel-extorsion-spoliation.htm Lees verder... |  | SLUITING UITZETCENTRUM TER APEL ? noordeling - 03.09.2011 08:19
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