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LUTTE CONTRE LA PEDOPHILIE REDING EUROPA JUSTITIA INTERPOL EUROPOL - 20.03.2011 13:55
Il y a bel et bien des portrait types de p�dophiles gendarmes et moniteurs gendarmes dans les maisons de la gendarmerie, les actes de p�dophilie sont pratiqu�es par des gendarmes ( gendarmes, majors, sergents, caporals, chefs, adjudants chefs, colonels et autres personnels de la gendarmerie ) qui abusent et violent sexuellement des mineurs de le gendarmerie, qui les droguent au ghb et produits anesth�siants que cela soit dans les casernes de gendarmeries ou � l'ext�rieur, les p�dophiles gendarmes et autres personnels au sein des casernes de gendarmeries sont en majorit� le fait de personnes appartenant � des sectes qui ont infiltr�s la gendarmerie et sont de l�entourage de l�enfant qui abuse de celui ci sexuellement au sein de la gendarmerie entre gendarmes p�dophiles et policiers p�dophiles parents p�dophiles et le prennent pour de la viande sexuelle voila comment cela se passe dans les gendarmeries de France. ACTEURS PORNOS PEDOPHILES GENDARMES PEDOPHILES POLICIERS PEDOPHILES BIEN COMPRENDRE LE SYSTEME PEDOPHILE EN FRANCE ACTEURS PORNOS PEDOPHILES GENDARMES PEDOPHILES POLICIERS PEDOPHILES BIEN COMPRENDRE LE SYSTEME PEDOPHILE EN FRANCE Il y a bel et bien des portrait types de p�dophiles gendarmes et moniteurs gendarmes dans les maisons de la gendarmerie, les actes de p�dophilie sont pratiqu�es par des gendarmes ( gendarmes, majors, sergents, caporals, chefs, adjudants chefs, colonels et autres personnels de la gendarmerie ) qui abusent et violent sexuellement des mineurs de le gendarmerie, qui les droguent au ghb et produits anesth�siants que cela soit dans les casernes de gendarmeries ou � l'ext�rieur, les p�dophiles gendarmes et autres personnels au sein des casernes de gendarmeries sont en majorit� le fait de personnes appartenant � des sectes qui ont infiltr�s la gendarmerie et sont de l�entourage de l�enfant qui abuse de celui ci sexuellement au sein de la gendarmerie entre gendarmes p�dophiles et policiers p�dophiles parents p�dophiles et le prennent pour de la viande sexuelle voila comment cela se passe dans les gendarmeries de France. Les petits mineurs des gendarmes se pr�munissent contre les p�dophiles gendarmes et p�dophiles pompiers qui s�vissent dans les casernes de notre gendarmerie pendant que leurs parents gendarmes travaillent, font des r�p�rages pour r�perer leurs proies sexuelles ont tendance � exhiber leurs pauvres bites comme ils disent ces pervers de p�dophiles et qui viennent les voir en apart� quand ils se trouvent tout seul(e)s dans leurs appartements lorsqu'ils sont revenus de l'�cole au sein des casernes de gendarmeries. Les enfants mineurs gendarmes sont frapp�es violemment et train�s par les cheveux et subissent les agressions sexuelles de leurs parents gendarmes et autres gendarmes p�dophiles qui prennent les mineurs pour de la viande sexuelle rien de plus. Ceci est monnaie courante dans la gendarmerie d�ailleurs. Les tribunaux couvrent ainsi la p�dophilie voulue. DES ACTEURS PORNOS DES GENDARMES DES POLICIERS PEDOPHILES : LE SYSTEME PEDOPHILIQUE DE FRANCE BIEN COMPRENDRE LE SYSTEME PEDOPHILIQUE DE FRANCE SUR GOOGLE INTERNATIONAL EUROPE Il y a bel et bien des portrait types de p�dophiles gendarmes et moniteurs gendarmes dans les maisons de la gendarmerie, les actes de p�dophilie sont pratiqu�es par des gendarmes ( gendarmes, majors, sergents, caporals, chefs, adjudants chefs, colonels et autres personnels de la gendarmerie ) qui abusent et violent sexuellement des mineurs de le gendarmerie, qui les droguent au ghb et produits anesth�siants que cela soit dans les casernes de gendarmeries ou � l'ext�rieur, les p�dophiles gendarmes et autres personnels au sein des casernes de gendarmeries sont en majorit� le fait de personnes appartenant � des sectes qui ont infiltr�s la gendarmerie et sont de l�entourage de l�enfant qui abuse de celui ci sexuellement au sein de la gendarmerie entre gendarmes p�dophiles et policiers p�dophiles parents p�dophiles et le prennent pour de la viande sexuelle voila comment cela se passe dans les gendarmeries de France. Les petits mineurs des gendarmes se pr�munissent contre les p�dophiles gendarmes et p�dophiles pompiers qui s�vissent dans les casernes de notre gendarmerie pendant que leurs parents gendarmes travaillent, font des r�p�rages pour r�perer leurs proies sexuelles ont tendance � exhiber leurs pauvres bites comme ils disent ces pervers de p�dophiles et qui viennent les voir en apart� quand ils se trouvent tout seul(e)s dans leurs appartements lorsqu'ils sont revenus de l'�cole au sein des casernes de gendarmeries. Les enfants mineurs gendarmes sont frapp�es violemment et train�s par les cheveux et subissent les agressions sexuelles de leurs parents gendarmes et autres gendarmes p�dophiles qui prennent les mineurs pour de la viande sexuelle rien de plus. Ceci est monnaie courante dans la gendarmerie d�ailleurs. Les tribunaux couvrent ainsi la p�dophilie voulue. La tr�s grande majorit� des faits constat�s concernent des actes commis en gendarmerie et en police en police judiciaire et dipj en premier lieu dans l�entourage gendarmerie puis dans l�entourage scolaire, �ducatif ou de loisir � la gendarmerie mais aussi � l�ext�rieur du mineur qui vit en gendarmerie ou en police mais aussi � l�ext�rieur : le mineur est en proie � tous ces p�dophiles gendarmes policiers pj dipj et ext�rieurs obs�d�s et pervers. Ces agresseurs pervers gendarmes p�dophiles matent des films x pornos et les diffusent aux mineurs dans leurs salons ou chez les nourrices alors que c�est totalement ill�gale la loi n�a jamais �t� respect�e en gendarmerie ce sont majoritairement des hommes gendarmes ou des femmes gendarmes et du personnel issu de la gendarmerie qui sont constitu�s de tous les grades de la gendarmerie et s�vissent criminellement et sexuellement dans les casernes et les maisons de la gendarmerie. Il y a bel et bien des portrait types de p�dophiles gendarmes et moniteurs gendarmes dans les maisons de la gendarmerie, les actes de p�dophilie sont pratiqu�es par des gendarmes ( gendarmes, majors, sergents, caporals, chefs, adjudants chefs, colonels et autres personnels de la gendarmerie ) qui abusent et violent sexuellement des mineurs de le gendarmerie, qui les droguent au ghb et produits anesth�siants, les p�dophiles gendarmes et autres personnels au sein des casernes de gendarmeries sont en majorit� le fait de personnes appartenant � des sectes qui ont infiltr�s la gendarmerie et sont de l�entourage de l�enfant qui abuse de celui ci sexuellement et le prennent pour de la viande sexuelle voila comment cela se passe dans les gendarmeries de France. Les enfants mineurs gendarmes sont frapp�es violemment et train�s par les cheveux et subissent les agressions sexuelles de leurs parents gendarmes et autres gendarmes p�dophiles qui prennent les mineurs pour de la viande sexuelle rien de plus. Ceci est monnaie courante dans la gendarmerie d�ailleurs. Les tribunaux couvrent ainsi la p�dophilie voulue. La tr�s grande majorit� des faits constat�s concernent des actes commis en gendarmerie et en police en police judiciaire et dipj en premier lieu dans l�entourage gendarmerie puis dans l�entourage scolaire, �ducatif ou de loisir � la gendarmerie mais aussi � l�ext�rieur du mineur qui vit en gendarmerie ou en police mais aussi � l�ext�rieur : le mineur est en proie � tous ces p�dophiles gendarmes policiers pj dipj et ext�rieurs pervers. Ces agresseurs pervers gendarmes matent des films x pornos et les diffusent aux mineurs alors que c�est totalement ill�gale la loi n�a jamais �t� respect�e en gendarmerie ce sont majoritairement des hommes gendarmes ou des femmes gendarmes et du personnel issu de la gendarmerie qui sont constitu�s de tous les grades de la gendarmerie et s�vissent criminellement et sexuellement dans les casernes et les maisons de la gendarmerie. Ils sont � la fois des p�dophiles gendarmes et policiers occasionnels, des p�dophiles gendarmes et policiers habituels fr�quentant les casernes de notre gendarmerie et travaillant dans la police ou justice o� le march� des enfants est facilement accessible, des p�dophiles gendarmes et policiers pj dipj pervers, obs�d�s, sadiques, et violents. Ces r�seaux p�dophiles dans la gendarmerie pj et dipj mettent en ligne sur internet la p�dophilie et sont li�es avec ces autres r�seaux p�dophiles qui agissent � l�ext�rieur de notre gendarmerie li� � la pornographie du X. En effet des acteurs pornos p�dophiles travaillant �galement dans des officines polici�res et de gendarmeries li� � ces autres r�seaux ext�rieurs p�dophiles organisent ce syst�me de la p�dophilie sur le net. Les fran�ais et les europ�ens ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d�ailleurs et ont compris le syst�me p�dophile de la gendarmerie : qu�y a des p�dophiles gendarmes et policiers, pj, dipj qui baignent compl�tement dans la p�dophilie et qui alimentent les r�seaux p�dophiles ce sont ceux ci qui mettent en ligne la p�dophilie sur le web et l�internet avec les autres r�seaux p�dophiles ext�rieures li�s �galement � la pornographie adulte qui est la traite des humains ! La gendamerie locale couvre avec les comissariats la p�dophilie locale de m�me que les tribunaux Les fran�ais et les europ�ens ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d�ailleurs puisqu�ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! LES RESEAUX PEDOPHILES DE LA GENDARMERIE DE FRANCE THE FRENCH NETWORK CRIMINAL GENDARMERIE PEDOPHILY SYSTEM En effet un colonel de gendarmerie fait pression sur VALENTINE, avec un maire pour complice et deux hommes politiques en vue, en d�clarant � VALENTINE : "On va s�occuper de ton cas" ! Mr le p�dophile colonel nous les petits nous allons vous occuper de votre cas et vous foutre � la prison internationale de la haye pour l��ternit� et Dieu et La Nature vous corrigeront tr�s vite :o) Mais oui mr le colonel p�dophile nous allons nous occuper de votre cas de criminel p�dophilique et vos r�seaux criminels p�dophiles dans nos gendarmeries fran�aises et nous allons nous occuper de votre cas de sale p�dophile mr le p�dophile de colonel sale exhibitionniste de pauvre bite et y a pas que celui l� lol devant nous les petits nous connaissons bien vos syst�mes et vos r�seaux de pervers de gendarmes p�dophiles en gendarmerie et les fameux clins d�oeil des pervers p�dophiles gendarmes ou de mains sur nos petits culs que vous faites � nous les petits ! de gendarmes en boxer qui nous draguent et nous violent nous les petits ! mais aussi ceux des autres r�seaux p�dophiles de l�ext�rieur qui se branlent devant nous les petits ou nous violent nous les petits ou baignent journalistes policiers et magistrats et populations p�dophiles urbaines et paysannes qui ne pensent qu�� baiser nous les petits. Ce sont des malades criminels p�dophiles et le cas de ce colonel p�dophile en est un bon exemple ! et oui dans les villages la gendarmerie fran�aise locale couvrent avec la magistrature les r�seaux p�dophiles de chacune des r�gions de france ! Les fran�ais ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d�ailleurs puisqu�ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! Mr le colonel p�dophile combien de cars d�enfants viol�s tu�s d�port�s et vou�s aux traffics de p�dophiles laiss�es vous circuler librement la nuit sur les routes fran�aises de votre france p�dophile pendant que les fran�ais dorment sur un oeil et ne sont pas dupes non plus : r�ponse un paquet lol Et combien d�enfants viol�es sexuellement et tu�s dans des lieux cach�s et discrets � la ville et � la campagne ( chateaux, manoirs, discoth�ques, maisons spoli�es par la justice locale car la justice locale s�en sert ensuite de partouzes de petits justement avec des notables p�dophiles pour information et la rg gendarmique participe aussi � ces soir�es p�dophiles,.... ) : r�ponse un paquet lol C�est vraiment bete pour vous mr le colonel criminel p�dophile de notre gendarmerie : le tribunal de la haye est au courant depuis belle lurette de m�me qu�interpol et europol Google l�a mis en ligne internationalement et le monde entier est au courant Ah oui dixit un juriste : la p�dophilie c�est monnaie courante dans le milieu judiciaire ! et dixit deux policiers : certains policiers baisent avec des petits c�est d�ja arriv� ! Sa troupe de p�dophiles gendarmes couvrent �galement les r�seaux externes p�dophiles � notre gendarmerie : la sp�cialit�e de la gendarmerie c�est de laisser les r�seaux p�dophiles externes � continuer � violer les petits les procureurs en sont contents d�ailleurs et laissent faire avec l�aval de gendarmeries locales dans chacune des villes de france et des villages de france sachant que d�autres petits ont �t� viol�es dans notre gendarmerie dans nos maisons de la gendarmerie mais aussi � l�ext�rieur apr�s nous avoir bien d�foncer nos petits anus pendant la nuit sa ils savent bien faire ces ordures d�adultes de pervers de p�dophiles gendarmes et nous exhibiter leurs zizis devant nous les petits et nous d�calotter notre p�tit zizi apr�s ils nous le sucent et apr�s ils nous le font sucer leurs zizis et nous violent et mettent leurs gros zizis dans nos petits anus et nous nikent sexuellement ces gendarmes p�dophiles au sein de notre gendarmerie et des maisons de la gendarmerie. Rassurez vous les Moniteurs au sein de nos maisons de la gendarmerie sont aussi de v�ritables pervers p�dophiles : c�est les moniteurs qui se collent � nous les petits et c�est je te met la main sur nos petits culs puis vers nos petites cuisses et apr�s c�est qu�ils mettent leur zizi ces tordus de malades de criminels de p�dophiles de gendarmes qui durcit contre nos petits fesses et ils entrent apr�s leur zizi dans notre petit anus en tant que petits en gendarmerie. Sa ils savent bien faire ces ordures de pervers de p�dophiles gendarmes et nous exhibiter leurs zizis devant nous les petits et nous d�calotter notre p�tit zizi apr�s ils nous le sucent et apr�s ils nous le font sucer leurs zizis et nous violent et mettent leurs gros zizis dans nos petits anus et nous nikent sexuellement ces gendarmes p�dophiles au sein de nos maisons de la gendarmerie. Meme chez les nourrisses en gendarmerie ou chez des gendarmes p�dophiles : colonels, lieutenants, majors, gendarmes, G.A. c�est au lieu du dessin anim� ils nous mettent nous les petits des films X dans les casernes de gendarmerie au lieu de nous mettre nos dessins anim�es pr�f�r�s : ce sont des criminels qui s�vissent dans nos gendarmeries. En prime font sauter leurs PVS et font faire au noir les travaux dans leurs immeubles respectifs ou maisons. Le fisc peut dormir tranquille avec toute cette corruption gendarmique ! Mais ils ne se laissent plus faire des gendarmes se prennent des redressements fiscaux ! Na la la la l�re :o) C�est bien fait ! :o) et l�Europe entube la gendarmerie p�dophilique fran�aise ! Na la la la l�re :o) Na la la la l�re :o) "Nous connaissions ces soir�es habituelles, � Boulogne sur Mer ou � Avesnes-sur-Helpe. Des soir�es bi�re o� on invite les voisins, on boit beaucoup, on joue aux cartes ou au jeu de l�oie, et o� le gagnant peut choisir une petite fille, avec l�accord des parents", a expliqu� le magistrat afin de d�fendre le juge Burgaud - Le magistrat a oubli� volontairement amn�sique d'ailleurs que cela se passe aussi au sein de nos gendarmeries ! qui sera d�ailleurs fix� sur son sort le 27 mars . Et il a ajout� : "L�-bas, ce ne sont pas des psychologues qu�il faut envoyer, mais des sociologues ou des ethnologues." Curieusement cette phrase a �t� prononc�e par les m�mes � l�encontre de votre r�dacteur en chef pr�f�r�, lors de sa garde � vue, lors de ses perquisitions, lors de ses r�unions publiques, lors de ses audiences aux tribunaux ! M�me menace prof�r�e � un avocat ! Ces m�mes personnages qui essayent d��touffer l�affaire de VALENTINE pour prot�ger leur copain, seraient impliqu�s dans l�affaire de la jeune SYLVIA, ag�e de 14 ans, d�coup�e en morceau (lors des soir�es bi�res ?)et maquill�e en accident de voiture ? De plus ce qui prouve la complicit� des juges avec les politiques est la mise en cause par le Rapporteur de l�O.N.U de la FRANCE, dans les dossiers concernant les abus sexuels et la p�dophilie qui sont de plus en plus massivement d�nonc�s (par la COUR DES DROITS DE L�HOMME aussi). Curieusement les juges savoyards n�ont pas demand� une commission rogatoire internationale pour regarder la d�position faite sur vid�o par les deux enfants de VALENTINE dans les locaux de la DJPS � Gen�ve. Ce n�est pas un oubli, ces magistrats sont trop professionnels, c�est donc intentionnellement qu�ils font entrave � la bonne marche de la justice en faveur de VALENTINE pour prot�ger leurs copains politiques ! CQFD ! L�ECHO des MONTAGNES, a fait cet article dans le l�gitime but de vous informer, ce qui est un droit et un devoir dans une soci�t� d�mocratique non perverse ACTION INNOCENCE Action Innocence est NOTRE ONG luttant contre la p�dophilie et les abus sexuels qui s�y passent en magistrature en police en gendarmerie ou � l�ext�rieur http://www.actioninnocence.org/fran...> ANTI PEDOPHIL http://www.antipedophil.fr UNICEF http://www.unicef.org/protection/ INNOCENCE EN DANGER http://www.innocenceendanger.org/ ?i... ;L=3_blank ASSOCIATION DE LUTTE CONTRE LA PEDOPHILIE http://www.lap.asso.fr/ INTERNATIONAL CRIMINAL COURT http://www.icc-cpi.int/Menus/ICC LAFAYETTE DECLARATION OF HUMANS RIGHTS http://s.bourdreux.free.fr/cabinet_... http://www.un.org/en/documents/udhr Article 7 : CRIMES CONTRE L�HUMANIT� INTERNATIONAL CRIMINAL COURT 1. Aux fins du pr�sent Statut, on entend par crime contre l�humanit� l�un des actes ci-apr�s commis dans le cadre d�une attaque g�n�ralis�e ou syst�matique lanc�e contre une population civile et en connaissance de cette attaque : a) Meurtre ; b) Extermination ; c) R�duction en esclavage ; d) D�portation ou transfert forc� de population ; e) Emprisonnement ou autre forme de privation grave de libert� physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ; f) Torture ; g) Viol, esclavage sexuel, prostitution forc�e, grossesse forc�e, st�rilisation forc�e et toute autre forme de violence sexuelle de gravit� comparable ; h) Pers�cution de tout groupe ou de toute collectivit� identifiable pour des motifs d�ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste au sus du paragraphe 3, ou en fonction d�autres crit�res universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corr�lation avec tout acte vis� dans le pr�sent paragraphe ou tout crime relevant de la comp�tence de la Cour ; i) Disparitions forc�es ; j) Apartheid ; k) Autres actes inhumains de caract�re analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves � l�int�grit� physique ou � la sant� physique ou mentale. 2 Aux fins du paragraphe 1 : a) Par attaque lanc�e contre une population civile, on entend le comportement qui consiste � multiplier les actes vis�s au paragraphe 1 � l�encontre d�une population civile quelconque, en application ou dans la poursuite de la politique d�un �tat ou d�une organisation ayant pour but une telle attaque ; b) Par extermination, on entend notamment le fait d�imposer intentionnellement des conditions de vie, telles que la privation d�acc�s � la nourriture et aux m�dicaments, calcul�es pour entra�ner la destruction d�une partie de la population ; c) Par r�duction en esclavage, on entend le fait d�exercer sur une personne l�un ou l�ensemble des pouvoirs li�s au droit de propri�t�, y compris dans le cadre de la traite des �tre humains, en particulier des femmes et des enfants � des fins d�exploitation sexuelle ; d) Par d�portation ou transfert forc� de population, on entend le fait de d�placer des personnes, en les expulsant ou par d�autres moyens coercitifs, de la r�gion o� elles se trouvent l�galement, sans motifs admis en droit international ; e) Par torture, on entend le fait d�infliger intentionnellement une douleur ou des souffrances aigu�s, physiques ou mentales, � une personne se trouvant sous sa garde ou sous son contr�le ; l�acception de ce terme ne s��tend pas � la douleur ou aux souffrances r�sultant uniquement de sanctions l�gales, inh�rentes � ces sanctions ou occasionn�es par elles ; f) Par grossesse forc�e, on entend la d�tention ill�gale d�une femme mise enceinte de force, dans l�intention de modifier la composition ethnique d�une population ou de commettre d�autres violations graves du droit international. Cette d�finition ne peut en aucune mani�re s�interpr�ter comme ayant une incidence sur les lois nationales relatives � l�interruption de grossesse ; g) Par pers�cution, on entend le d�ni intentionnel et grave de droits fondamentaux en violation du droit international, pour des motifs li�s � l�identit� du groupe ou de la collectivit� qui en fait l�objet ; h) Par apartheid, on entend des actes inhumains analogues � ceux que vise le paragraphe 1, commis dans le cadre d�un r�gime institutionnalis� d�oppression syst�matique et de domination d�un groupe racial sur tout autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l�intention de maintenir ce r�gime ; i) Par disparitions forc�es, on entend les cas o� des personnes sont arr�t�es, d�tenues ou enlev�es par un �tat ou une organisation politique ou avec l�autorisation, l�appui ou l�assentiment de cet �tat ou de cette organisation, qui refuse ensuite d�admettre que ces personnes sont priv�es de libert� ou de r�v�ler le sort qui leur est r�serv� ou l�endroit o� elles se trouvent, dans l�intention de les soustraire � la protection de la loi pendant une p�riode prolong�e. 3. Aux fins du pr�sent Statut, le terme sexe s�entend de l�un et l�autre sexes, masculin et f�minin, suivant le contexte de la soci�t�. Il n�implique aucun autre sens. et oui dans les villages la gendarmerie fran�aise locale couvrent avec la magistrature les r�seaux p�dophiles de chacune des r�gions de france ! Les fran�ais ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d�ailleurs puisqu�ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! Mr le colonel p�dophile combien de cars d�enfants viol�s tu�s d�port�s et vou�s aux traffics de p�dophiles laiss�es vous circuler librement la nuit sur les routes fran�aises de votre france p�dophile pendant que les fran�ais dorment sur un oeil et ne sont pas dupes non plus : r�ponse un paquet lol Et combien d�enfants viol�es sexuellement et tu�s dans des lieux cach�s et discrets � la ville et � la campagne ( chateaux, manoirs, discoth�ques, maisons spoli�es par la justice locale car la justice locale s�en sert ensuite de partouzes de petits justement avec des notables p�dophiles pour information et la rg gendarmique participe aussi � ces soir�es p�dophiles,.... ) : r�ponse un paquet lol C�est vraiment bete pour vous mr le colonel criminel p�dophile de notre gendarmerie : le tribunal de la haye est au courant depuis belle lurette de m�me qu�interpol et europol Google l�a mis en ligne internationalement et le monde entier est au courant Ah oui dixit un juriste : la p�dophilie c�est monnaie courante dans le milieu judiciaire ! et dixit deux policiers : certains policiers baisent avec des petits c�est d�ja arriv� ! Sa troupe de p�dophiles gendarmes couvrent �galement les r�seaux externes p�dophiles � notre gendarmerie : la sp�cialit�e de la gendarmerie c�est de laisser les r�seaux p�dophiles externes � continuer � violer les petits les procureurs en sont contents d�ailleurs et laissent faire avec l�aval de gendarmeries locales dans chacune des villes de france et des villages de france sachant que d�autres petits ont �t� viol�es dans notre gendarmerie dans nos maisons de la gendarmerie mais aussi � l�ext�rieur apr�s nous avoir bien d�foncer nos petits anus pendant la nuit sa ils savent bien faire ces ordures d�adultes de pervers de p�dophiles gendarmes et nous exhibiter leurs zizis devant nous les petits et nous d�calotter notre p�tit zizi apr�s ils nous le sucent et apr�s ils nous le font sucer leurs zizis et nous violent et mettent leurs gros zizis dans nos petits anus et nous nikent sexuellement ces gendarmes p�dophiles au sein de notre gendarmerie Rassurez vous les Moniteurs au sein de nos maisons de la gendarmerie sont aussi de v�ritables pervers p�dophiles :c�est les moniteurs qui se collent � nous les petits et c�est je te met la main sur nos petits culs puis vers nos petites cuisses et apr�s c�est qu�ils mettent leur zizi ces tordus de malades de criminels de p�dophiles de gendarmes qui durcit contre nos petits fesses et ils entrent apr�s leur zizi dans notre petit anus en tant que petits en gendarmerie. Sa ils savent bien faire ces ordures de pervers de p�dophiles gendarmes et nous exhibiter leurs zizis devant nous les petits et nous d�calotter notre p�tit zizi apr�s ils nous le sucent et apr�s ils nous le font sucer leurs zizis et nous violent et mettent leurs gros zizis dans nos petits anus et nous nikent sexuellement ces gendarmes p�dophiles au sein de nos maisons de la gendarmerie. Meme chez les nourrisses en gendarmerie ou chez des gendarmes p�dophiles : colonels, lieutenants, majors, gendarmes, G.A.c�est au lieu du dessin anim� ils nous mettent nous les petits des films X dans les casernes de gendarmerie au lieu de nous mettre nos dessins anim�es pr�f�r�s : ce sont des criminels qui s�vissent dans nos gendarmeries. En prime font sauter leurs PVS et font faire au noir les travaux dans leurs immeubles respectifs ou maisons. Le fisc peut dormir tranquille avec toute cette corruption gendarmique ! Mais ils ne se laissent plus faire des gendarmes se prennent des redressements fiscaux ! Na la la la l�re :o) C�est bien fait ! :o) et l�Europe entube la gendarmerie p�dophilique fran�aise ! Na la la la l�re :o) Na la la la l�re :o) "Nous connaissions ces soir�es habituelles, � Boulogne sur Mer ou � Avesnes-sur-Helpe. Des soir�es bi�re o� on invite les voisins, on boit beaucoup, on joue aux cartes ou au jeu de l�oie, et o� le gagnant peut choisir une petite fille, avec l�accord des parents", a expliqu� le magistrat afin de d�fendre le juge Burgaud - qui sera d�ailleurs fix� sur son sort le 27 mars . Et il a ajout� : "L�-bas, ce ne sont pas des psychologues qu�il faut envoyer, mais des sociologues ou des ethnologues." Curieusement cette phrase a �t� prononc�e par les m�mes � l�encontre de votre r�dacteur en chef pr�f�r�, lors de sa garde � vue, lors de ses perquisitions, lors de ses r�unions publiques, lors de ses audiences aux tribunaux ! M�me menace prof�r�e � un avocat ! Ces m�mes personnages qui essayent d��touffer l�affaire de VALENTINE pour prot�ger leur copain, seraient impliqu�s dans l�affaire de la jeune SYLVIA, ag�e de 14 ans, d�coup�e en morceau (lors des soir�es bi�res ?)et maquill�e en accident de voiture ? De plus ce qui prouve la complicit� des juges avec les politiques est la mise en cause par le Rapporteur de l�O.N.U de la FRANCE, dans les dossiers concernant les abus sexuels et la p�dophilie qui sont de plus en plus massivement d�nonc�s (par la COUR DES DROITS DE L�HOMME aussi). Curieusement les juges savoyards n�ont pas demand� une commission rogatoire internationale pour regarder la d�position faite sur vid�o par les deux enfants de VALENTINE dans les locaux de la DJPS � Gen�ve. Ce n�est pas un oubli, ces magistrats sont trop professionnels, c�est donc intentionnellement qu�ils font entrave � la bonne marche de la justice en faveur de VALENTINE pour prot�ger leurs copains politiques ! CQFD ! L�ECHO des MONTAGNES, a fait cet article dans le l�gitime but de vous informer, ce qui est un droit et un devoir dans une soci�t� d�mocratique non perverse ACTION INNOCENCE Action Innocence est NOTRE ONG luttant contre la p�dophilie et les abus sexuels qui s�y passent en magistrature en police en gendarmerie ou � l�ext�rieur http://www.actioninnocence.org/fran...> ANTI PEDOPHIL http://www.antipedophil.fr UNICEF http://www.unicef.org/protection/ INNOCENCE EN DANGER http://www.innocenceendanger.org/ ?i... ;L=3_blank ASSOCIATION DE LUTTE CONTRE LA PEDOPHILIE http://www.lap.asso.fr/ INTERNATIONAL CRIMINAL COURT http://www.icc-cpi.int/Menus/ICC LAFAYETTE DECLARATION OF HUMANS RIGHTS http://s.bourdreux.free.fr/cabinet_... http://www.un.org/en/documents/udhr Article 7 : CRIMES CONTRE L�HUMANIT� INTERNATIONAL CRIMINAL COURT 1. Aux fins du pr�sent Statut, on entend par crime contre l�humanit� l�un des actes ci-apr�s commis dans le cadre d�une attaque g�n�ralis�e ou syst�matique lanc�e contre une population civile et en connaissance de cette attaque : a) Meurtre ; b) Extermination ; c) R�duction en esclavage ; d) D�portation ou transfert forc� de population ; e) Emprisonnement ou autre forme de privation grave de libert� physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ; f) Torture ; g) Viol, esclavage sexuel, prostitution forc�e, grossesse forc�e, st�rilisation forc�e et toute autre forme de violence sexuelle de gravit� comparable ; h) Pers�cution de tout groupe ou de toute collectivit� identifiable pour des motifs d�ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste au sus du paragraphe 3, ou en fonction d�autres crit�res universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corr�lation avec tout acte vis� dans le pr�sent paragraphe ou tout crime relevant de la comp�tence de la Cour ; i) Disparitions forc�es ; j) Apartheid ; k) Autres actes inhumains de caract�re analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves � l�int�grit� physique ou � la sant� physique ou mentale. 2 Aux fins du paragraphe 1 : a) Par attaque lanc�e contre une population civile, on entend le comportement qui consiste � multiplier les actes vis�s au paragraphe 1 � l�encontre d�une population civile quelconque, en application ou dans la poursuite de la politique d�un �tat ou d�une organisation ayant pour but une telle attaque ; b) Par extermination, on entend notamment le fait d�imposer intentionnellement des conditions de vie, telles que la privation d�acc�s � la nourriture et aux m�dicaments, calcul�es pour entra�ner la destruction d�une partie de la population ; c) Par r�duction en esclavage, on entend le fait d�exercer sur une personne l�un ou l�ensemble des pouvoirs li�s au droit de propri�t�, y compris dans le cadre de la traite des �tre humains, en particulier des femmes et des enfants � des fins d�exploitation sexuelle ; d) Par d�portation ou transfert forc� de population, on entend le fait de d�placer des personnes, en les expulsant ou par d�autres moyens coercitifs, de la r�gion o� elles se trouvent l�galement, sans motifs admis en droit international ; e) Par torture, on entend le fait d�infliger intentionnellement une douleur ou des souffrances aigu�s, physiques ou mentales, � une personne se trouvant sous sa garde ou sous son contr�le ; l�acception de ce terme ne s��tend pas � la douleur ou aux souffrances r�sultant uniquement de sanctions l�gales, inh�rentes � ces sanctions ou occasionn�es par elles ; f) Par grossesse forc�e, on entend la d�tention ill�gale d�une femme mise enceinte de force, dans l�intention de modifier la composition ethnique d�une population ou de commettre d�autres violations graves du droit international. Cette d�finition ne peut en aucune mani�re s�interpr�ter comme ayant une incidence sur les lois nationales relatives � l�interruption de grossesse ; g) Par pers�cution, on entend le d�ni intentionnel et grave de droits fondamentaux en violation du droit international, pour des motifs li�s � l�identit� du groupe ou de la collectivit� qui en fait l�objet ; h) Par apartheid, on entend des actes inhumains analogues � ceux que vise le paragraphe 1, commis dans le cadre d�un r�gime institutionnalis� d�oppression syst�matique et de domination d�un groupe racial sur tout autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l�intention de maintenir ce r�gime ; i) Par disparitions forc�es, on entend les cas o� des personnes sont arr�t�es, d�tenues ou enlev�es par un �tat ou une organisation politique ou avec l�autorisation, l�appui ou l�assentiment de cet �tat ou de cette organisation, qui refuse ensuite d�admettre que ces personnes sont priv�es de libert� ou de r�v�ler le sort qui leur est r�serv� ou l�endroit o� elles se trouvent, dans l�intention de les soustraire � la protection de la loi pendant une p�riode prolong�e. 3. Aux fins du pr�sent Statut, le terme sexe s�entend de l�un et l�autre sexes, masculin et f�minin, suivant le contexte de la soci�t�. Il n�implique aucun autre sens. Ils sont � la fois des p�dophiles gendarmes et policiers occasionnels, des p�dophiles gendarmes et policiers habituels fr�quentant les casernes de notre gendarmerie et travaillant dans la police ou justice o� le march� des enfants est facilement accessible, des p�dophiles gendarmes et policiers pj dipj pervers, obs�d�s sexuels, sadiques, et violents. Ces r�seaux p�dophiles dans la gendarmerie pj et dipj mettent en ligne sur internet la p�dophilie et sont li�es avec ces autres r�seaux p�dophiles dont les acteurs pornos p�dophiles qui agissent � l�ext�rieur de notre gendarmerie li� � la pornographie du X. En effet des acteurs pornos p�dophiles travaillant �galement dans des officines polici�res et de gendarmeries li�s � ces autres r�seaux ext�rieurs p�dophiles organisent ce syst�me de la p�dophilie sur le net. Ces criminels p�dophiles abusent des petits et des petites victimes sans d�fense et vou� � la traitre des petits et des petites victimes qui transitent en France par diff�rents moyens de transports : avions qui transitent � des heures pas communes, cars qui transitent � des heures tr�s tardives, embarqu�s dans des petites fourgonnettes blanches.... D�sol�s c'est pas les voyages scolaires mais nous les petits nous les identifions tr�s vite : la tra�te des petits et des petites victimes de ces r�seaux p�dophiles qui transitent par la France plateforme p�dophile couverts par les gendarmeries locales et les polices locales. En effet m�me des petits et des petites victimes sont enrol�s vers des pays europ�ens limitrophes lors de leurs vacances scolaires et quand ils s�journent avec leurs parents respectifs mais entre eux cohabitent une solidarit� anti p�dophile qui fait que certains petits victimes qui risque d'etre en proie � ces r�seaux p�dophiles sont aid�s par d'autres mineurs non victimes � temps et qui les empechent ainsi d'etre embarquees par ces r�seaux p�dophiles. La Cour P�nale Internationale de la Haye �tant au courant du syst�me en question. Les fran�ais et les europ�ens ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d�ailleurs et ont compris le syst�me p�dophile de la gendarmerie : qu�y a des p�dophiles gendarmes et des p�dophiles policiers, pj p�dophiles, dipj p�dophiles qui baignent compl�tement dans la p�dophilie et qui alimentent les r�seaux p�dophiles ce sont ceux ci qui mettent en ligne en effet la p�dophilie sur le web et l�internet avec les autres r�seaux p�dophiles ext�rieures li�s �galement � la pornographie adulte qui n'est rien d'autre que la tra�te des humains ! La caract�ristique du p�dophile en g�n�ral en France c'est soit un vieux h�t�rosexuel, soit un pas beau h�t�rosexuel ou soit un beau muscl� h�t�rosexuel de 30 � 60 ans comme nous les petits nous disons entre nous strictement rien � voir avec nos grands parents ni nos amis ou amies plus grands que nous les petits nous cotoyons ! Rien � voir avec un homosexuel ou une homosexuelle car l'homosexuel n'aime que la personne du m�me �ge Apr�s ce sont des d�viances incestes et p�dophiliques qui n'ont rien avoir avec l'homosexualit� : ces p�dophiles gendarmes p�dophiles policiers et acteurs pornos p�dophiles sont justement dans ces d�viances ! O.v.h. en particulier est dans la d�viance p�dophile soci�t� d�cadende sexuelle c'est � dire pour o.v.h qui herberge la traite des humains sexuels : ils ont plus de rep�re sexuel normal comme le stipule MR MONDIALISATION � 1min26 de la vid�o suivante http://www.youtube.com/watch?v=Pwpkg1ctLZg : ils deviennent en fait des criminels sexuels se baisant entre eux baisant leurs mineurs enfants m�me et favorisant les maladies sexuelles v�n�riennes sida virus militaire cr�e en proie � leurs d�viances http://www.youtube.com/watch?v=THNzuF33tZo et � leurs d�ch�ances sexuelles en baisant �galement des mineurs de fa�on group�e comme ici http://www.youtube.com/watch?v=NvkCbdDJ6a4&feature=related bref perdent tous rep�res et deviennent des criminels. en proie � leurs propres destructions terrestres ! Ce ne sont rien d'autres que des sectes p�dophiliques ! Sur la plage y a �galement les moniteurs crs p�dophiles qui nous traquent nous les petits quand nous sommes sous la douche ils se malaxent devant nous leurs pauvres bites et se collent progressivement vers nous les petits. Puis apr�s quand nous allons chercher notre petit glace tout seul(e) commence par nous parler � nous accoster � nous faire des clins d'oeils de pervers de p�dophiles pour nous faire croire que ces p�dophiles moniteurs crs sont nos copains sexuels nous les petits: Mais nous les petits nous sommes pas dupes ! LE SYSTEME PEDOPHILIQUE DE FRANCE La gendamerie locale couvre avec les comissariats locaux : la p�dophilie locale de m�me que les tribunaux Les fran�ais et les europ�ens ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d�ailleurs puisqu�ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! LES RESEAUX PEDOPHILES DE LA GENDARMERIE DE FRANCE THE FRENCH NETWORK CRIMINAL GENDARMERIE PEDOPHILY SYSTEM En effet un colonel de gendarmerie fait pression sur VALENTINE, avec un maire pour complice et deux hommes politiques en vue, en d�clarant � VALENTINE : "On va s�occuper de ton cas" ! Mr le p�dophile colonel nous les petits nous allons vous occuper de votre cas et vous foutre � la prison internationale de la haye pour l��ternit� et Dieu et La Nature vous corrigeront tr�s vite :o) Mais oui mr le colonel p�dophile nous allons nous occuper de votre cas de criminel p�dophilique et vos r�seaux criminels p�dophiles dans nos gendarmeries fran�aises et nous allons nous occuper de votre cas de sale p�dophile mr le p�dophile de colonel sale exhibitionniste de pauvre bite et y a pas que celui l� lol devant nous les petits et c'est pas avec une cl� USB ! Nous connaissons bien vos syst�mes p�dophiliques et vos r�seaux de pervers de gendarmes p�dophiles en gendarmerie et les fameux clins d�oeil des pervers p�dophiles gendarmes ou de mains sur nos petits culs que vous faites � nous les petits ! de gendarmes en boxer qui nous draguent et nous violent nous les petits ! mais aussi ceux des autres r�seaux p�dophiles de l�ext�rieur qui se branlent devant nous les petits ou nous violent nous les petits ou baignent journalistes policiers et magistrats et populations p�dophiles urbaines et paysannes qui ne pensent qu�� baiser nous les petits. Et en prime nous les petits veulent nous faire partir dans un autre pays europ�en pour etre exploit�s sexuellement mais nous les petits nous nous laissons pas faire et d�non�ons votre syst�me p�dophilique. Ce sont des malades criminels p�dophiles et le cas de ce colonel p�dophile en est un bon exemple ! et oui dans les villages la gendarmerie fran�aise locale couvrent avec la magistrature les r�seaux p�dophiles de chacune des r�gions de france ! Les fran�ais ne sont pas dupes et le savent tr�s bien d�ailleurs puisqu�ils le disent �galement de m�me que les europ�ens ! Mr le colonel p�dophile combien de cars d�enfants viol�s tu�s d�port�s et vou�s aux traffics de p�dophiles laiss�es vous circuler librement la nuit sur les routes fran�aises de votre france p�dophile pendant que les fran�ais dorment sur un oeil et ne sont pas dupes non plus : r�ponse un paquet lol Et combien d�enfants viol�es sexuellement et tu�s dans des lieux cach�s et discrets � la ville et � la campagne ( chateaux, manoirs, discoth�ques, maisons spoli�es par la justice locale car la justice locale s�en sert ensuite de partouzes de petits justement avec des notables p�dophiles pour information et la rg gendarmique participe aussi � ces soir�es p�dophiles,.... ) : r�ponse un paquet lol C�est vraiment bete pour vous mr le colonel criminel p�dophile de notre gendarmerie : le tribunal de la haye est au courant depuis belle lurette de m�me qu�interpol et europol Google l�a mis en ligne internationalement et le monde entier est au courant Ah oui dixit un juriste : la p�dophilie c�est monnaie courante dans le milieu judiciaire ! et dixit deux policiers : certains policiers baisent avec des petits c�est d�ja arriv� ! Sa troupe de p�dophiles gendarmes couvrent �galement les r�seaux externes p�dophiles � notre gendarmerie : la sp�cialit�e de la gendarmerie c�est de laisser les r�seaux p�dophiles externes � continuer � violer les petits les procureurs en sont contents d�ailleurs et laissent faire avec l�aval de gendarmeries locales dans chacune des villes de france et des villages de france sachant que d�autres petits ont �t� viol�es dans notre gendarmerie dans nos maisons de la gendarmerie mais aussi � l�ext�rieur apr�s nous avoir bien d�foncer nos petits anus pendant la nuit sa ils savent bien faire ces ordures d�adultes de pervers de p�dophiles gendarmes et nous exhibiter leurs zizis devant nous les petits et nous d�calotter notre p�tit zizi apr�s ils nous le sucent et apr�s ils nous le font sucer leurs zizis et nous violent et mettent leurs gros zizis dans nos petits anus et nous nikent sexuellement ces gendarmes p�dophiles au sein de notre gendarmerie Rassurez vous les Moniteurs au sein de nos maisons de la gendarmerie sont aussi de v�ritables pervers p�dophiles :c�est les moniteurs qui se collent � nous les petits et c�est je te met la main sur nos petits culs puis vers nos petites cuisses et apr�s c�est qu�ils mettent leur zizi ces tordus de malades de criminels de p�dophiles de gendarmes qui durcit contre nos petits fesses et ils entrent apr�s leur zizi dans notre petit anus en tant que petits en gendarmerie. Sa ils savent bien faire ces ordures de pervers de p�dophiles gendarmes et nous exhibiter leurs zizis devant nous les petits et nous d�calotter notre p�tit zizi apr�s ils nous le sucent et apr�s ils nous le font sucer leurs zizis et nous violent et mettent leurs gros zizis dans nos petits anus et nous nikent sexuellement ces gendarmes p�dophiles au sein de nos maisons de la gendarmerie. Meme chez les nourrisses en gendarmerie ou chez des gendarmes p�dophiles : colonels, lieutenants, majors, gendarmes, G.A.c�est au lieu du dessin anim� ils nous mettent nous les petits des films X dans les casernes de gendarmerie au lieu de nous mettre nos dessins anim�es pr�f�r�s : ce sont des criminels qui s�vissent dans nos gendarmeries. En prime font sauter leurs PVS et font faire au noir les travaux dans leurs immeubles respectifs ou maisons. Le fisc peut dormir tranquille avec toute cette corruption gendarmique ! Mais ils ne se laissent plus faire des gendarmes se prennent des redressements fiscaux ! Na la la la l�re :o) C�est bien fait ! :o) et l�Europe entube la gendarmerie p�dophilique fran�aise ! Na la la la l�re :o) Na la la la l�re :o) "Nous connaissions ces soir�es habituelles, � Boulogne sur Mer ou � Avesnes-sur-Helpe. Des soir�es bi�re o� on invite les voisins, on boit beaucoup, on joue aux cartes ou au jeu de l�oie, et o� le gagnant peut choisir une petite fille, avec l�accord des parents", a expliqu� le magistrat afin de d�fendre le juge Burgaud - qui sera d�ailleurs fix� sur son sort le 27 mars . Et il a ajout� : "L�-bas, ce ne sont pas des psychologues qu�il faut envoyer, mais des sociologues ou des ethnologues." Curieusement cette phrase a �t� prononc�e par les m�mes � l�encontre de votre r�dacteur en chef pr�f�r�, lors de sa garde � vue, lors de ses perquisitions, lors de ses r�unions publiques, lors de ses audiences aux tribunaux ! M�me menace prof�r�e � un avocat ! Ces m�mes personnages qui essayent d��touffer l�affaire de VALENTINE pour prot�ger leur copain, seraient impliqu�s dans l�affaire de la jeune SYLVIA, ag�e de 14 ans, d�coup�e en morceau (lors des soir�es bi�res ?)et maquill�e en accident de voiture ? De plus ce qui prouve la complicit� des juges avec les politiques est la mise en cause par le Rapporteur de l�O.N.U de la FRANCE, dans les dossiers concernant les abus sexuels et la p�dophilie qui sont de plus en plus massivement d�nonc�s (par la COUR DES DROITS DE L�HOMME aussi). Curieusement les juges savoyards n�ont pas demand� une commission rogatoire internationale pour regarder la d�position faite sur vid�o par les deux enfants de VALENTINE dans les locaux de la DJPS � Gen�ve. Ce n�est pas un oubli, ces magistrats sont trop professionnels, c�est donc intentionnellement qu�ils font entrave � la bonne marche de la justice en faveur de VALENTINE pour prot�ger leurs copains politiques ! CQFD ! L�ECHO des MONTAGNES, a fait cet article dans le l�gitime but de vous informer, ce qui est un droit et un devoir dans une soci�t� d�mocratique non perverse ACTION INNOCENCE Action Innocence est NOTRE ONG luttant contre la p�dophilie et les abus sexuels qui s�y passent en magistrature en police en gendarmerie ou � l�ext�rieur http://www.actioninnocence.org/fran...> ANTI PEDOPHIL http://www.antipedophil.fr UNICEF http://www.unicef.org/protection/ INNOCENCE EN DANGER http://www.innocenceendanger.org/ ?i... ;L=3_blank ASSOCIATION DE LUTTE CONTRE LA PEDOPHILIE http://www.lap.asso.fr/ INTERNATIONAL CRIMINAL COURT http://www.icc-cpi.int/Menus/ICC LAFAYETTE DECLARATION OF HUMANS RIGHTS http://s.bourdreux.free.fr/cabinet_... http://www.un.org/en/documents/udhr Article 7 : CRIMES CONTRE L�HUMANIT� INTERNATIONAL CRIMINAL COURT 1. Aux fins du pr�sent Statut, on entend par crime contre l�humanit� l�un des actes ci-apr�s commis dans le cadre d�une attaque g�n�ralis�e ou syst�matique lanc�e contre une population civile et en connaissance de cette attaque : a) Meurtre ; b) Extermination ; c) R�duction en esclavage ; d) D�portation ou transfert forc� de population ; e) Emprisonnement ou autre forme de privation grave de libert� physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ; f) Torture ; g) Viol, esclavage sexuel, prostitution forc�e, grossesse forc�e, st�rilisation forc�e et toute autre forme de violence sexuelle de gravit� comparable ; h) Pers�cution de tout groupe ou de toute collectivit� identifiable pour des motifs d�ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste au sus du paragraphe 3, ou en fonction d�autres crit�res universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corr�lation avec tout acte vis� dans le pr�sent paragraphe ou tout crime relevant de la comp�tence de la Cour ; i) Disparitions forc�es ; j) Apartheid ; k) Autres actes inhumains de caract�re analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves � l�int�grit� physique ou � la sant� physique ou mentale. 2 Aux fins du paragraphe 1 : a) Par attaque lanc�e contre une population civile, on entend le comportement qui consiste � multiplier les actes vis�s au paragraphe 1 � l�encontre d�une population civile quelconque, en application ou dans la poursuite de la politique d�un �tat ou d�une organisation ayant pour but une telle attaque ; b) Par extermination, on entend notamment le fait d�imposer intentionnellement des conditions de vie, telles que la privation d�acc�s � la nourriture et aux m�dicaments, calcul�es pour entra�ner la destruction d�une partie de la population ; c) Par r�duction en esclavage, on entend le fait d�exercer sur une personne l�un ou l�ensemble des pouvoirs li�s au droit de propri�t�, y compris dans le cadre de la traite des �tre humains, en particulier des femmes et des enfants � des fins d�exploitation sexuelle ; d) Par d�portation ou transfert forc� de population, on entend le fait de d�placer des personnes, en les expulsant ou par d�autres moyens coercitifs, de la r�gion o� elles se trouvent l�galement, sans motifs admis en droit international ; e) Par torture, on entend le fait d�infliger intentionnellement une douleur ou des souffrances aigu�s, physiques ou mentales, � une personne se trouvant sous sa garde ou sous son contr�le ; l�acception de ce terme ne s��tend pas � la douleur ou aux souffrances r�sultant uniquement de sanctions l�gales, inh�rentes � ces sanctions ou occasionn�es par elles ; f) Par grossesse forc�e, on entend la d�tention ill�gale d�une femme mise enceinte de force, dans l�intention de modifier la composition ethnique d�une population ou de commettre d�autres violations graves du droit international. Cette d�finition ne peut en aucune mani�re s�interpr�ter comme ayant une incidence sur les lois nationales relatives � l�interruption de grossesse ; g) Par pers�cution, on entend le d�ni intentionnel et grave de droits fondamentaux en violation du droit international, pour des motifs li�s � l�identit� du groupe ou de la collectivit� qui en fait l�objet ; h) Par apartheid, on entend des actes inhumains analogues � ceux que vise le paragraphe 1, commis dans le cadre d�un r�gime institutionnalis� d�oppression syst�matique et de domination d�un groupe racial sur tout autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l�intention de maintenir ce r�gime ; i) Par disparitions forc�es, on entend les cas o� des personnes sont arr�t�es, d�tenues ou enlev�es par un �tat ou une organisation politique ou avec l�autorisation, l�appui ou l�assentiment de cet �tat ou de cette organisation, qui refuse ensuite d�admettre que ces personnes sont priv�es de libert� ou de r�v�ler le sort qui leur est r�serv� ou l�endroit o� elles se trouvent, dans l�intention de les soustraire � la protection de la loi pendant une p�riode prolong�e. 3. Aux fins du pr�sent Statut, le terme sexe s�entend de l�un et l�autre sexes, masculin et f�minin, suivant le contexte de la soci�t�. Il n�implique aucun autre sens. COUR PENALE INTERNATIONALE DE LA HAYE ICC THE HAGUE NETHERLANDS |
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